Installation dans la chambre commune, prévu pour 12 personnes, nous ne sommes que 10 , on espère qu’on ne va pas nous ajouter 2 personnes. Ici aussi il y a encore du monde, le refuge est presque complet et il y a encore des campeurs malgré la fin de saison.
Olivier (notre guide) a mis son badge de « guide de haute montage » on le charrie un peu et se moque de son pins
(le détail peut sembler futile, mais il aura son importance par la suite)
Avantage n°1 : On passe devant tout le monde pour l’utilisation de la cuisine, on nous libère une grande table pour que nous puissions manger tous ensemble …
Rituel du soir, vérifier le niveau des aurore, ce soir 2 … mais le ciel est bien dégagé, tout espoir n’est pas perdu. Oliver nous conseil de surveiller le ciel.
On discute de programme du lendemain matin, lever de soleil au sommet de la coulée de lave derrière le refuge, On aura besoin de trépieds, ils sont dans les coffres des 4X4 et de parking est à l’oppose du début de la randonné matinal.
Donc nous partons à 3 chercher le matériel dans les voitures, Olivier et un autre membre du groupe décident d’aller prendre un bain chaud dans la source. En chemin ils croisent un « guide de haute montage » Islandais … qui a reconnu le pins d’Oliver
… avantage n°2 … Celui-ci lui explique que les lueurs rose à l’horizon n’es PAS le coucher du soleil comme on le pensait, mais le reflet de l’éruption de volcan Bardarbunga (un peu plus facile à prononcer que celui de 2010 …) A notre retour Olivier récupère son trépied prend une photo en pose longue … et là sur son écran tout le ciel est rouge (bien plus joli que ce qu’on peut voir à l’œil nu). Nous on remonte dans la chambre récupérer notre matériel photo et prévenir le reste du groupe de venir faire quelques photo de nuit. Mais bizarrement les autres ne semblent pas intéressés …
30.