Ils servent d'hôtes aux sempiternels pique-boeufs qui les débarrassent des parasites, parfois en des endroits inavouables
36.
Tout d'un coup ils prennent peur et s'enfuient.
Ils ont probablement senti notre présence, à défaut de nous voir distinctement.
Reprenant notre route, nous observerons des grands Kudus puis des mangoustes naines qui quittent leur terrier :
37.
J'avais oublié à quel point elles pouvaient être rapides !
Alors que nous prenons notre pause café, je vois Cédric qui devient tout pâle : 3 gros buffles mâles nous observent à 15, 20 m et leur attitude ne présage rien de bon...
Nous montons vite dans le véhicule puis l'autre voiture arrive sur place et se place de façon à faire barrage.
Incroyable quand même la vitesse et la discrétion avec laquelle ils nous ont approchés !
De retour au lodge, je m'inscris à une marche, histoire d'en apprendre plus sur l'écosystème local et de passer le temps.
J'y apprends notamment que l'on peut faire du savon à partir des ronces d'une plante appelée "Devilthorn". La nature est vraiment bien faite !
J'y apprendrai aussi que les éléphants se nourrissent principalement d'écorce en saison sèche car plus énergisante que l'herbe sèche.
L'après-midi, nous retournons sur le territoire de Nyeleti où un de ses jeunes a été aperçu.
Nous le trouvons alors qu'il semble se cacher sur un talus.
Il est vraiment mimi et nous gratifie de quelques mimiques hilarantes.
Quelque chose semble l'intriguer :
38.
