Elle est en effet bien belle, la plaine du Mara... A la lecture de cette MAJ du carnet de piste.
Première étape pour un exercice qui deviendra quotidien : la prise de vue d’un animal au soleil levant.
Nous voilà à 4 pattes parterre, translation à droite, puis à gauche pour affiner les cadrages.
J'ignorais que l'exercice se pratiquait en sortant du véhicule.
Voilà qui doit être excitant!
Les différents éléments de la nature semblent s'être donné RDV... Silhouette gracieuse, lever de soleil et jolis nuages.
Beau voyage à travers les années pour Notch et son clan.
Le tri de mes images progressant polé polé, j'ai quand même déjà la certitude de fournir quelques photos sympa de ce cher Notch.
Denis, ton "Roi" semble pas mal lui ressembler ?
En fait il y a un moyen 100% fiable de reconnaitre un lion, c'est l'implantation (unique) des vibrisses de sa moustache.
Merci aci, pour cette info.
Je constate qu'à Mara, les animaux (à qui un petit nom a été donné) sont également "suivi" dans leur évolution, territoire. Un peu comme les léopards de Sabi Sand. Pour ces derniers c'est, via les rosettes faciales, qu'ils sont identifiés.
Arrivés au camp vers 19h, un couple de français nous raconte que le petit lion du clan du Marais aurait été tué par les grands ados et dévoré sous leurs yeux...
MDH confirme qu’une scission s’est produite dans le groupe des lions du Marais. Les jeunes femelles courtisées par les mâles auraient été éloignées par les adolescents et les lionnes plus agées. Le petit lion sans la protection des jeunes lionnes aurait été malmené, les ados jouant avec lui un peu brutalement. Affaire à suivre…
Pour le petit rikiki, ne t'inquiète pas trop...
Une belle rencontre, avec ce timide serval...
L'attrait de la proie facilement gagnée, le fait se découvrir de jour...
Quant au crossing... Cela reste toujours un spectacle impressionnant visuellement... Et que dire de l'aspect auditif, sur place.
Soudain, les gnous font demi-tour, sans raison apparente. Puis ils reviennent. L’attente commence et le va et vient des gnous durera plus d’une heure avant que l’un d’entre eux se décide à traverser la Mara.
Du genre imprévisibles ces gnous!?
Les craintes de Michel, recoupent malheureusement les derniers articles que l'on a pu lire sur le Kenya et le Mara, ces derniers temps...
L'avenir du Mara n'est pas serein mais ce parc a encore de quoi en émerveiller plus d'un.
C'est bien vrai...
Simba