J’ai adoré !
Pour la première fois je l’ai vue en Haute Définition, et ya pas à dire ‘ça pète’ !
Je m’amusais parfois à repasser en SD, quelle horreur, on croirait voir une peinture délavée animée
.
Là même si tout n’est pas parfait les détails fourmillent dans l’image.
Au-delà de l’aspect technique, quel plaisir de revoir des paysages parcourus et d’en découvrir plein d’autres. Ces reflets sur ciel sur le ‘petit Okavango’ en Zambie sont magnifiques et les populations et animaux sublimes
.
Sinon qui connait le bilan carbone de l'équipe de prod' de Môssieur Nicolas- Hulot - faites ce que je dis et pas ce que je fais
Tu n’as pas tord de soulever la question, cependant à mon avis tu te trompes de cible.
Face à toute la pollution produite journalièrement par nos voitures, nos bateaux, nos avions et nos usines (et je ne parle que de pollution gazeuse), le bilan carbone de l’équipe de Monsieur Hulot n’est qu’un grain de sable dans le Sahara.
Alors certes, ce sont
les petits ruisseaux qui font les grandes rivières, mais il y a nettement plus préoccupant à faire ailleurs que de regarder le bilan carbone d’une petite émission française.
Parce que sinon, parlons du bilan carbone des tous les membres de COW (et je m’inclus dedans) qui vont en Afrique ou ailleurs (avions, véhicule etc.) ou encore du bilan carbone du temps que chaque membre à passé à lire et participer au forum.
Mais on peut aller plus loin, qu’en est-t-il du bilan carbone de tous ces matchs de foot (les gens qui se déplacent au stade, la consommation électrique de ceux qui regardent les matches à la tv etc.).
D’autant plus qu’une émission comme Ushuaïa Nature, apporte à mon sens bien plus en terme de découverte, d’ouverture d’esprit qu’un simple match de foot.
Alors c’est vrai qu’il y a toujours des citations et messages d’alerte sur l’environnement et ses relations avec l’homme, mais où est la mal ?
A défaut d’actions concrètes, les téléspectateurs peuvent au moins en prendre conscience (tant et si bien qu’ils ne l’aient pas compris avant).
Et je préfère entendre ça plutôt que ce soit omis alors qu’il s’agit souvent de véritables problèmes (problèmes d'extinction d’espèces végétales ou animales, acculturation de populations et autres).