Kenya express 2009

[zabinouk]

Ben connaît les coins ou l’on aura de belles lumières.
Après un nouveau passage dans la forêt d’acacia, nous gagnons la rive du lac à cormoran point, le long de la Njoro river.

47. Pie grièche à dos gris


48. Aigle huppard


49. Cobe defassa de face


50. et de dos, pour être sur que ce n'est pas un cobe à croissant


51 Les arbres portent de drôles de fruits


52. Malheureusement ce n'est pas la périodes des flamants, il n'y en a que quelques uns


Et la c’est un festival de plumes dans la lumière de fin d’après midi.
Marabouts, cigognes à bec jaunes, pélicans, ceux là sont épatant pour que je puisse m’entrainer à les prendre en vol, ouettes d’Egypte, échasses vanneaux armés…
A cette endroit, on peu descendre et approcher à pied.
 Je ne sais où donner de la tête.

53. Le long de la Njoro river



54.



55. Pélican blanc


56.Marabout, sans bout de ficelle


57. Cigogne à bec jaune


58. Echasse


59. Garez vous, je passe

[zabinouk]

Bon, ben v'la que je n'arrive plus à up loader les photos ça veut certainement dire que j'en ai trop mis pour ce soir.

Donc la suite à demain, peut être

[zabinouk]

60. Mr et mme ouette



Plan large, plan serré

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62.


63.


64.


Puis soudain c’est LA big surprise, alors que je me relève de ma position accroupie, pour me déplacer un peu plus loin  et je m’arrête brusquement, Benji n’a rien vu, Ben ne dit rien mais regarde.

Je dis à Benji à droite regarde et tout émue je vois s’avancer paisiblement à une centaine de mètres un énorme rhino blanc qui se dirige vers la rivière.
 
65.


Je ne peux y croire, un rhino dès le premier jour… on  remonte à bord du bus et on approche, fabuleux et la lumière… un bijou quand le soleil ne disparaît pas derrière les nuages.

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67.


68. Gros dur à cuir, cherche matelas de plume pour faire la sieste


Puis c’est une longue cohorte de buffles qui approche pour venir s’abreuver, quelle scène, mais quelle scène, ah si sur la fin le soleil avait voulu refaire une apparition avec toute cette poussière en suspension….

69.


70.


71. Mammaaannnnn, t'es où?? Imaginez, le cowboy, le lasso qui part


72.


73.


Il est passé 18h30 quand nous reprenons rapidement le chemin de la guest house.
Le souper est prêt.
Après se sera la douche et le déchargement des premières photos, je profite au maximum du fait que l’on a de l’électricité.

21h extinction des feux pour cette première journée sur le territoire kenyan.

74.

[vahine]

Bon, moi ce Kenya me branche de plus en plus, paysages magnifiques et rencontres superbes  , rhino, buffles devant des flamants roses  , oiseaux...

Mis à part ça Zabi, fo quand même arriver a te suivre entre l'Australie, le kenya ,Tanzanie... Et j'en passe ..........Comme je n'ai pas fini de tout lire, je me mélange parfois les pinceaux ...Et quand je trouve les Kangourous au Kenya, j'me dis toujours qu'il est temps pour moi d'aller me coucher !!!


PS: D'après tes expériences au Kenya, quelles sont pour toi les endroits à ne pas rater !!

[zabinouk]

Ou la !!!!!!
Quelle question, très difficile de répondre après seulement deux voyages là bas.
Chaque parc à vraiment ses particularités.
Mara, c'est les grandes plaines herbeuses, c'est comme le Sérengetti, beaucoup de faune.
Il y a des collines, des endroits boisés, des plaines.
Actuellement je pense que pour un séjour relativement court, par exemple, si comme ça je pouvais partir demain pour 8 jours,  ;)je passerais ces 8 jours dans le Mara.
Il y a suffisamment à voir.

Nakuru, apparemment, tu es sur de voir des rhinos à cet endroit, donc si tu n'es pas en overdose de rhino, tu peux y passer un petit moment. Je pense que 2-3 jours à Nakuru, 'c'est bien. Le parc n'est pas très grand.
Mais il y a de la variété, faune et avifaune. Et par certain côté, ça m'a rappelé le cratère du Ngorongoro.
Si je devais refaire, je ferais une journée de plus, pour mieux en profiter.

Baringo est à part.
On y  va uniquement pour les oiseaux. Et pour le paysage. Au passage rajouter Bogoria, je suis désolée de ne pas l'avoir fait.

Samburu, c'est plutôt le bush, pas de grands espaces de plaines herbeuses, comme dans le Mara.
C'est aussi plus aride, ce qui m'y a attiré pour la seconde fois la beauté des espèces endémiques, zèbres de Grévy, oryx Beisa, gérénouks, girafes réticulées, l'atmosphère proche du désert, avec l'oasis que forme l'Uaso Nyro, même à sec.
C'est un peu difficile d'expliquer ses coups de foudre. .

[Shikra]

La 73 et la 74, quelle lumière , fantastique, le Kenya est une destination de rêve pour ces couchers de soleil.
Va falloir que j'achète un grand angle maintenant 
Vahine, laisse toi brancher... Et branche Pikasso aussi 

[mondoro]

Superbes le rhino dans un champ de pélicans !
Pour moi, comme on ne peut pas "tout faire" en une seule fois (sauf à partir 3 mois comme certains !..) le 2 incontournables à privilégier : MARA et Samburu !

[zabinouk]

Mercredi 4 février : Lac Nakuru

Bonne nuit, température fraiche, c’est agréable.

Levée 6h, thé brulant départ avant 6h30.

La lueur du jour apparait à l’Est mais rien de flamboyant, le ciel s’est bien dégagé, je pense que les nuages vont monter en court de journée et que l’on aura un ciel couvert en fin d’après midi.

Sur la piste qui nous mène en direction de la forêt, dik-dik, impalas, cobes, un premier rhino, juste en lisière, Ben pense que c’est un rhino noir, même avec les jumelles vu qu’il à la tête plongée dans l’herbe, ou cachée par les buissons, je ne peut pour ma part me prononcer.
Trop peut de lumière pour une photo.

On file le long de la berge Est du lac, pour gagner l’autre bout, pas beaucoup d’accès à la berge, donc on ne voit le lac que derrière les acacias.
Il fait presque froid dans la voiture, pendant que l’on roule, les babouins se réveillent à peine, pas de chamaillerie pour le moment.

75. Famille rhino, broutant paisiblement en lisière du lac.



Eclairs bleu métalliques des spréos.
Buffles, beaucoup de buffles.
La lumière du soleil franchit les collines.
La forêt d’euphorbes semble avoir brulée.
Drongo, faucons, crécerelles, zèbres,  Kenya express… Tout ce petit monde se dirige ou revient du bord du lac en broutant.

76. Pie grièche à dos gris


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79. Un kenya express au ralenti


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Et soudain de nouveau un imposant rhino, je pensais que c’était un white, mais d’après mes photos il semblerait que ce soit un black. Et quelle corne.

82. Rhino noir


On suit différentes pistes, tantôt en savane, tantôt en forêt, babouins actifs maintenant et girafes de Rothschild, une nouvelle espèce pour moi.

83.


84. Girafe de Rothschild


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Et puis retour vers les berges du lac.

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88. Faucons crécerelles


D’abord, deux rhinos couchés tête bèche, puis un solitaire sous un arbre unique, dans les branche au dessus de lui deux rapaces.
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91. A l'étage au dessus, aigle martial juvénile


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Incroyable tout ces rhinos, observés dans de bonnes conditions. Déjà 7, rien que ce matin.
On quitte notre belle au bois dormant sous son arbre, et on approche de la rive du lac, pour observer les oiseaux présents.
Ibis, pélicans, jabiru, cigognes à bec jaune, marabouts, flamants roses,  petits flamants, échasses, vanneaux, couronnés ou armés, mouette à tête grise… difficile d’isoler un individu, difficile de choisir une scène intéressante, tout est en constant changement.
Fascination.
93. Flamant rose


94. Petits flamants


95. Pélican


96. Echasse


97. Marabout


98. Ibis sacré


99. En vol


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101. Mouettes à tête grise


102. Vanneau armé


103. Vanneau couronné


Moi je passerais des heures ici à regarder le va et vient, mais il est déjà l’heure de prendre le chemin du retour, pole-pole , car Joseph nous attend pour le breakfast.

C’est vrai que là je commence à avoir un petit creux.

Le retour se fait donc doucement, quand même, toujours des babouins,  malheureusement loin du bord de la piste, plus ou moins à contre jour trois lionnes sont étendues.
104.


Et de nouveau une nouveauté pour moi, STOPPPP !!!!
Des singes colobes de Guérézas, qu’ils sont beaux avec leur longs poils noirs et blancs.

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106.


Benji semble enchanté de sa matinée, il faut dire que l’on est plutôt chanceux question rencontre ce matin.

Il est passé 10h quand on rejoint la guest house, en passant devant la cuisine où Joseph s’active, me parvient le bruit de grésillement et l’odeur des crêpes, miam, je sens que l’on va se régaler.
 
Nous prendrons notre breakfast, sur la terrasse à l’ombre sur le côté d’un des bungalows, autour de nous passent différentes troupes qui vont s’abreuver ou qui en reviennent.
Samson le gardien surveille et chasse à grand cris une troupe de babouins qui vient un peu trop près.
Impalas, phacos, waterbucks, buffles, gazelles de Grant, c’est intéressant d’observer tout ce petit monde.

Les souimangas s’activent dans le jacaranda, c’est un moment de calme dans notre journée, la lumière est dure, pas de regret pour les photos, il fait chaud, mais heureusement il y a du vent, et effectivement j’avais raison, les nuages sont apparus.

14h30. Joseph est prêt à nous servir le lunch. Filet de poisson, purée maison et légumes à la sauce Joseph et en dessert un délicieux ananas frais.
Je n’ai pas vraiment faim mais comment résister.
Par contre, je réponds NON à son  « more, more, eat more »

[fdupraz]

Un séjour qui commence sur les chapeaux de roue!
Tous ces rhinos, c'est génial et la photo 74 est magnifique.

Par contre, je me permets de corriger une petite erreur d'identification: ce ne sont pas des faucons crécerelles mais des faucons crécerelettes.
Critères distinctifs: ongles blancs, le mâle n'a pas de tâches sur le dos, et une barre gris/bleu sur les ailes.
On voit très bien tous ces critères sur ta photo.
Il est par contre parfois difficile de distinguer les femelles des deux espèces, sauf si effectivement on peut voir les ongles (noirs chez le crécerelle).

Franck

[Ombrette]

Plein de photos superbes, je n'en ferai pas la liste...

Je retiens tout de même les rhinos, les buffles, les oiseaux  . De belles ambiances de ce parc.

Dire que j'y serai en août !!!! (suivi de 10 jours à Mara) Je m'en fais une joie !

Le Kénya est vraiment inépuisable. Je ne m'en lasse pas.

Envoie la suite Zab.......

  Ombrette

[Therabu]

Trés bon carnet de voyage

"Benji" qui a à peu prés le même age que moi et je l'envie énormément 
Pour ce qui est du rhinocéros en 82 il s'agit d'un blanc. Tu peux le reconnaitre même sans la tête grâce à son cou trés large et pas trés long avec une grosse bosse de muscle sur l'épaule (les sortes de 3ptites bosses qu'on voit sur la photo sont aussi caractéristiques mais durs à observer dans les graminées à 500m  ). Même si ça parait paradoxal chez les rhinocéros, le noir est aussi plus svelte.

[zabinouk]

Mince moi qui était persuadée d'avoir photographié un rhino noir, parce que j'avais vraiment l'impression que le museau était plus pointu

Merci  Thérabu d'avoir rectifié

Et merci à Franck pour avoir aussi rectifié le tir pour les faucons crécerelettes
Mince je savais bien que j'aurais du faire plus attention à ces discussions de bureau, question manucure, elles sont plutôt calées, les collègues, contrairement à moi qui n'ai même pas vu les ongles blancs

Allez pour la suite, y aura juste une question de sexe qui me pose problème

[zabinouk]

15h départ en game drive.
Belle approche du lac à travers de la forêt d’acacias à tronc jaune.

107.Yellow tree acacia


 Babouins, pélicans, marabouts, mouettes, ouettes, alcyon pie, zèbres, buffles, cobes, impalas.

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113. Alcyon pie


Premier arrêt Hippo point, puis de retour à Cormorant point, puis direction Baboon Cliff.

Lors d’un arrêt près de pintades de numibie, je découvre un chacal bien planqué dans un creux et en partie caché par les hautes herbes, quand il se dirige à bouger, c’est pour rejoindre probablement son terrier, et bien que je sois loin je distingue quelques boules de poil turbulentes.
Dommage, trop loin et trop d’herbe.
Plus loin c’est encore deux hyènes tachetés, qui font fuir un groupe d’impalas, puis un rhino solitaire.
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115. Le seul chacal de tout le voyage.


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117. Hyènes


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120.


Soudain changement d’allure.
Ben n’a pas de radio en ce moment, je ne m’en plein pas vraiment.
 Il obtient donc des informations auprès des autres chauffeurs, en blablatant.
Tiens il serait intéressant de savoir ce qu’ils se racontent.

Donc changement d’allure, je dit à Benji, ça sent le cat, et même le cat tacheté si je ne me trompe pas, d’autant plus que me reviens à l’esprit qu’hier après midi Ben m’avait proposé d’essayer d’aller voir un léo quelque part à l’autre bout du lac, « may be » et que j’avais refusé, et oui refusé d’essayé de voir un léo, pour à la place profiter pleinement de l’endroit où l’on était.

 Certains penserons drôle de choix, mais courir à l’autre bout du lac, alors que l’on avait déjà plus beaucoup de temps d’observation, je n’avais pas vraiment envie de cela, malgré, peut être le regret plus tard de ne pas voir de léo.

Après une course échevelée, qu’il faut parfois brusquement interrompre, pour laisser passer des animaux peu pressés de traverser la piste, nous arrivons sur le spot.
Ca, il n’est pas difficile à trouver, vu l’amas de voiture,  :(par contre ce qu’il y a observé, l’ai beaucoup plus.

Evidement assez loin de la piste, en forêt et plutôt bien caché comme d’habitude.
Ca y est je l’ai repéré, un léo, couché sur un tronc d’arbre mort, Youpiiiiii.
Et il y en a un deuxième, où, où ?
Perché dans un arbre, ça y est je le vois, juste un bout de dos coincé dans une fourche d’arbre.
Ouaaaahhhhh !!!!
Deux léos d’un coup ça c’est une première, pour moi.

Avec le va et vient des véhicules, nous finissons par avoir une relativement bonne place d’observation.
Le léo sur le tronc d’arbre est même suffisamment complaisant pour nous gratifier d’un aller retour sur son tronc, de lever et de coucher de tête.
Quand à l’autre dans son arbre, il nous gratifie aussi de quelques tentatives de descentes de son arbre.
May be, une mère et son jeune, difficile à dire.
En tout 30mn d’observation, avec une lumière de plus en plus pauvre, le léo de l’arbre après quelques essais à réussit à descendre , et l’autre après quelques étirements à finit par disparaître et sauter dans l’herbe.

121. Léo du bas


122. Léo du haut


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124.


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127.


128.


129. Dans ce sens ce n'est pas gagné


130. Et dans ce sens


131. Ca fonctionne


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133.


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Et c'est finit, je ne vous ai pas mis la totalité des clichés, heureusement pour vous et désolé avec mon appareil à 1600iso il y a du bruit numérique

Au retour en regardant attentivement les photos, je pense que le léo couché sur le tronc était finalement un mâle, alors logiquement l’autre devrait être une femelle. 

Mince il est 18h30, déjà, on devrait normalement être déjà rentré à la guest house.
Ca va secouer rude sur le chemin du retour. Lumière sublime derrière la rangé d’acacias qui bordent le lac, un stop devant les lionnes de ce matin qui n’ont pas bougé, sauf que maintenant elles sont 4 et non plus 3.
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Et il fait complètement nuit quand nous arrivons au camp.
4 autres personnes, donc ce soir il y a un peu d’attente à la douche.
Moi je décide d’attendre après le souper.
Pas de chance, il n’y a plus d’eau.
Je réussis quand même  à obtenir un baquet d’eau froide, et c’est debout dans le seau que je ferais ma toilette.

Demain dernier game drive à Nakuru, brunch et départ pour Baringo.

[zabinouk]

05  février 2209 : Nakuru-Baringo

Ce matin de nouveau je suis levée à 6h juste avant que le réveil ne sonne, pour Benji la levée de corps est plus difficile. 

Je bois mon thé brulant attrape mon matériel et en route pour le bus, première photo pour impala mâle en contre jour, pas top, le poteau électrique juste entre les deux cornes de l’impala.

137.


Il me semble qu’il fait moins frais qu’hier, je n’enfile qu’une seule de mes polaires ce matin et ça me suffit.
Les buffles sont nombreux et proche de la piste que nous empruntons pour gagner le bord du lac.
On commence par gagner Cormorant point, ou aujourd’hui on découvre un hypo, en train de brouter au milieu des oiseaux.


Quelques essais de prises de vue en fonction de la lumière et des différentes rencontre avant d'atteindre Cormorant point
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 145. Hippo à cormorant point


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147. Aigrette garzette


Notre projet de drive ce matin c’est d’atteindre Baboon Cliff et son point de vue, malheureusement ce matin on sera face au soleil.

En longeant le bord du lac sans passer par la piste de la forêt on a un autre point de vue sur les alentours, c’est magnifique.
Toujours une multitude d’oiseaux, ligne blanche des pélicans, ligne rose des flamants.
On rencontrera un petite groupe de hyènes, certaines faisant la sieste, d’autres essayant sans grande conviction de séparé un bufflon de son groupe.

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Puis c’est la montée à Baboon Cliff, effectivement le point de vue est magnifique, mais la lumière n’est pas top, bien sur c’était hier soir que l’on devait y monter, et la on aurait eu le soleil dans le dos, mais hier soir à la place on été en train d’observer des léos.
157.


On est les seuls pour le moment, mais cela ne dure pas.
Evidement comme c’est aussi une place de pique-nique, il y a pas mal d’oiseaux aux alentours, puis des damans des rochers et des agames.

158. Daman


159. Agame des colons mâle


160.


Bénis soit Ben contrairement aux autres chauffeurs, nous empruntons la piste la plus longue, pour rejoindre le niveau du lac.

Promenade au milieu de quelques arbres et buissons épineux, c’est très sec et pas du tout animé, mais c’est joli.
161.


Ben repère un  Fork tailed Drongo, je demande l’arrêt pour une photo, qui ne va pas être évidente, forte lumière, un oiseau tout noir.

162.Drongo brillant


Et soudainement Ben s’écrit : Back, look at your, back !!!!

Quoi, qu’est ce qu’il y  dans mon dos, et mon Drongo alors !

Ben à déjà commencé de reculer et c’est bel et bien la tête d’un léopard qui devient visible dans les hautes herbes.
Il est à côté de la piste, et on est les seuls sur ce spot et ça ne risque pas de changer, Ben n’a pas de radio.
Un léo pour nous tout seul.

15mn d’observation avant que Mr finisse par disparaître dans la brousse, et je te coupe la piste, et que je longe le bus, et que je marque mon territoire et puis, roulade dans les herbes, léchouille et c’est finit.

On est évidement aux anges, et Ben va pouvoir se glorifier auprès de ces camarades chauffeurs de l’incroyable rencontre.
Mais si on m’avait dit un jour que je trouverais un léopard laid, je ne l’aurais pas cru, mais franchement ce n’est pas vraiment le plus beau que j’ai eu la chance de voir, avec son triple menton et son ventre avec ses poignets d’amour,  par contre pour les conditions d’observation, c’était le top.

163. Aperçu par Ben dans le rétroviseur


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166.


167. Marquage, on se frotte les babines


162. On pisse un coup


163. Retraverse la piste


164. La position ne l'indique pas , mais il gratte conciencieusement le sol avec ses postérieurs.



165. Et puis après avoir une fois de plus traversé devant nous, il va se coucher à l'ombre


166. Loin


167. Une petite roulade, pour compléter le marquage.


168. Une léchouille


169. Un dernier regard, avant de s'enfoncer plus profondement dans la végétation.


Par la suite nous regagnerons les abords du lac, encore quelques belles observations d’oiseaux, grande aigrette, hérons cendrés et flamants, malheureusement à contre jour.
Encore le regard d’un aigle huppard à travers les branchages, puis nous retraversons un grand endroit à découvert le long du lac, beaucoup de buffles couchés, avec deux- trois sentinelles par ci par là.

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Une troupe turbulente de babouin, dans la forêt d’acacia, et puis le petit pont qui enjambe un micro ruisseau, évidement en face un autre bus, mais il nous laisse passé.
Sympa.

STTTTOOOPPPPP !!!!!!
Chaque fois que l’on est passé à cet endroit, j’ai toujours jeté un œil à droite et à gauche, histoire de voir si justement je ne voyais pas quelque chose, et bien c’est le cas maintenant, non ce n’est pas pour l’oiseau que je n’identifie pas que j’ai demandé l’arrêt.
On a presque que franchit le pont quand j’ai hurlé stop.
Back, back, big snake.
Manœuvre délicate, de reculer sur ce « pont » , mais Ben l’effectue de main de maitre.

Et maintenant on le voit bien, le python.
Et les autres minibus qui essaye de s’avancer pour voir quelque chose, mais vu l’étroitesse, du lieu, il n’y a pas de place pour deux véhicules, je mitraille.
Lumière venant du dessus, écume, clarté, obscurité, reflets, la bête ne bouge pas vite, mais elle bouge quand même. D’ailleurs il disparaît dans l’herbe.
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174.

 
175.


Aujourd’hui on aurait pus dire chercher l’oiseau, derrière on a trouvé, un léo et un python.

Ce n’est rien de dire que l’on est un brin euphorique quand on rejoint la guest house, de nouveau une bonne odeur nous accueil.
Il est largement passé dix heures.
Brunch sur la terrasse, c’est copieux, en plus de l’omelette, saucisses, pancakes et fruit, il y a des spaghettis, c’est que c’est dramatique, on aura rien à manger avant ce soir.
« More, more, eat more » nous répète Joseph.

176.
 

Au lieu de boucler les bagages, on irait bien faire la sieste.

Evidement c’est à regret, que nous quittons Nakuru.

[zabinouk]

Question : est ce qu'il y a trop de photo, trop de texte....