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Nouvelles: Elisez le photographe COW de l'année 2016
 
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Auteur Fil de discussion: Du Kilimandjaro à Zanzibar (en passant par la Belgique ...)  (Lu 37791 fois)
Floflo
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« Répondre #30 le: 12 Septembre 2008 à 10:01:59 »

j'adore ta définition Zabinouk  Grimaçant Ahhhhh ce Kili  J'aime je comprend que tu sois ému à chaque fois que tu le vois
choupinou le dik dik planqué dans les hautes herbes  J'aime
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« Répondre #31 le: 16 Septembre 2008 à 23:03:27 »

Kilimanjaro man Grimaçant Grimaçant Grimaçant, je ne m'étais pas trompée Clin d'oeil
Grimaçant Va falloir que je change la photo de mon avatar pour en mettre une du Kili Clin d'oeil.

La différence la plus visible entre un cobe Defassa et un cobe à croissant c'est leur cul Clin d'oeil pour que cela un cobe à croissant il faut que tu aies l'impression qu'il s'est assis sur une cuvette de WC fraichement repeinte. Grimaçant Grimaçant Grimaçant
J'imagine bien la scène  Rire Rire.
Plus sérieusement, on est donc obligé de matter leur cul pour les reconnaitre et par conséquent, de face ils doivent être très similaire.
Je vais avoir quelques photos, faudra que tu me dises si c'est un Defassa ou un Croissant Clin d'oeil.


Ahhhhh ce Kili  J'aime je comprend que tu sois ému à chaque fois que tu le vois
choupinou le dik dik planqué dans les hautes herbes  J'aime
Ah le Kili et moi c’est une grande histoire d’amour  Tire la langue.
Dès le premier instant ça a été le coup de foudre J'aime.

Pour le dik dik, j’ai du me mettre en mise au point manuel car avec toutes ces herbes, l’autofocus patinait pas mal.
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« Répondre #32 le: 16 Septembre 2008 à 23:13:45 »

Le lendemain matin, après un bon petit déjeuner, on parti faire un petit tour dans les ‘jardins’ du lodge où l’on pouvait observer dans un coin spécialement aménagé pour quelques zèbres, autruches, babouins etc.
Puis on prit la route vers le parc de Tarangire, mais avant de l’atteindre il fallait traverser tout Arusha.
Ce fut donc l’occasion d’observer la ville en plein animation et de reconnaitre des lieux où j’étais passé l’année précédente pour mon premier séjour en Tanzanie.
Après Arusha on arriva à l’intersection entre Tarangire et NGorongoro que j’ai immédiatement reconnu.
C’est dingue, je n’étais passé que deux fois à cet endroit lors de mon premier séjour mais je reconnaissais tout un tas de coins.
Ca me faisait super plaisir.
On s’arrêta quelques minutes ici pour se dégourdir les jambes et faire un petit arrêt au stand ‘vidange’.
L’année dernière on avait fait un plein de cinq litres de carburants ici … Ne me demandez pas pourquoi cinq litres Marteau, je sais juste que le guide que j’avais était le spécialiste des pleins de carburants de cinq litres.

On reparti ensuite et à partir de cet endroit je reconnaissais presque tout !
Arrivé à la gate, le temps que Kassim aille payer les droits d’entrées, on descendit faire un petit tour, le temps de photographier quelques fleurs et d’acheter quelques cartes postales.

87. Si vous connaissez le nom de cette fleur/plante, je suis preneur.
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« Répondre #33 le: 16 Septembre 2008 à 23:23:56 »

On débuta alors le safari. Pas beaucoup d’animaux au départ, mais tout de suite la particularité de ce parc se remarque facilement : ses nombreux baobab.
Si on les montre la plupart du temps sans feuilles (c’est probablement sous cette forme qu’ils sont le plus atypiques), il y a des saisons où leur feuillage peut-être bien garni.
Avant mon départ j’étais déjà curieux d’en croiser quelque uns dans cet état.
J’ai donc été entièrement satisfait de pourvoir les voir).
La piste bordée de buissons et de quelques acacias à fièvre jaune (yellow fiever trees) était également dès plus sympathique.
Seul ombre au tableau, une couverture nuageuse (certes assez haute) mais bien présente.

88. Une des premiers baobab avec feuilles que l'on a rencontré (on en croisera des bien plus feuillu par la suite)


89. Un bout de piste du parc du Tarangire.


A un détour de la piste on pouvait apercevoir le lodge où j’avais séjourné lors de mon précédent voyage : le Tarangire River Camp (situé au bord du parc).
Puis après avoir croisée un couple de dik dik un peu loin, on rencontra enfin nos premiers animaux.
De nombreux zèbre, un magnifique couple de girafes etc.
Bref j’étais bien occupé à contempler et photographier tout ce petit monde.


90.


91.


92. un couple de girafes au milieu des zèbres. Inutile de préciser lequel est le mâle Rire.


Chinook m’interpella alors pour me monter un tout petit zèbre tout mignon assit au milieu de la piste.
J’ai été un peu pris de cour et la photo n’est pas parfaitement nette, mais j’ai eu l’occasion de le reprendre par la suite alors qu’il rejoignant les siens sur le coté de la piste.
Vu les tâches qu’il avait encore au visage et son pelage roux sur le dos, il ne devait pas être bien vieux.
Une belle rencontre Souriant.

93. Le bébé zèbre sur la piste.


94.


95.

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« Répondre #34 le: 16 Septembre 2008 à 23:54:20 »

Un peu plus loin on croisa le harem d’un impala puis au bord d’un mini lac qui doit être asséché la majeure partie de l’année, deux espèces de gros lézard ressemblant à des iguanes et tout un tas d’oiseau sur les berges.
On quitta ensuite cette partie relativement ‘humide’ du parc pour rejoindre une autre zone qui porte bien son nom ‘small serengeti’.
Ici, le relief devient plus plat et surtout bien plus dégagé, formant ainsi de petites pleines aux herbes dorées.
On pouvait y observer des zèbres ainsi que (attention zabinouk c’est pour toi Clin d'oeil) quelques cobes defassa/croissant ?

96.


97.


98. Zèbres dans le 'small serengeti'.


99.


100.


101. Alors cobes defassa ou cobes croissants ?


102. idem


Ce fut en bordure de cette zone que nous avons croisé des baobabs très plus feuillus ainsi que nos premiers éléphants.
Il était temps d’ailleurs pour un parc si réputé pour sa grande population d’éléphant Tire la langue.
Ils broutaient paisiblement au milieu d’herbes plus hautes que moi.
J’en avais rarement vu de si grandes et elles se révélaient quelques peu gênantes pour les photos, mais d’un autre coté apportaient un certain cachet.
On resta un long moment à cet endroit à les observer avant de nous diriger vers une zone de pique-nique.

103. Le baobab tout feuillu.


104.


105.


106.
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« Répondre #35 le: 17 Septembre 2008 à 00:22:53 »

Citation
Chinook m’interpella alors pour me monter un tout petit zèbre tout mignon assit au milieu de la piste

Vous voyez que c'est utile une Chinook en safari  Souriant 

C'est déjà fini pour aujourd'hui ?  Pleurs


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« Répondre #36 le: 17 Septembre 2008 à 22:37:16 »

Une Chinook en safari, c’est bien plus utile qu’un couteau suisse, ça peut servir à tout un tas de choses Clin d'oeil.



Arrivé au coin pique-nique on retrouva un jeune couple que l’on avait vu le jour de notre arrivée et on s’installa tous ensemble pour le repas.
L’année précédente j’étais également venu manger à cet endroit qui offre un beau panorama sur la plaine en contre bas où passe la rivière Tarangire.
Ce fut donc l’occasion de comparer (enfin surtout au retour avec les photos les unes à coté des autres) les différences de couleurs du paysage aux deux principales saisons.
Si l’année dernière j’avais eu droit à une scène avec des girafes venant s’abreuver, cette année on a pu admirer un petit troupeau d’éléphant en file indienne avec plusieurs petits.
Chance ou pas ? En tout cas j’ai pour ma part toujours vu de belles choses à cet endroit.

107. En fin de saison des pluies.


108. En saison sèche.


109. Un troupeau d'éléphants qui est venu s'abreuver.


110.


111. Le même endroit mais en saison sèche.


Le pique nique fut rapidement expédié.
Il faut reconnaitre qu’il était particulièrement déséquilibré.
Vous connaissez les publicités avec en fin la phrase ‘évitez les aliments, gras, salés et sucré’.
Bah là on peu dire que c’était tout l’opposé.
En dehors d’un mini sandwich (et encore quand je dis sandwich il s’agit en fait de deux demi tranches de pain-demi), d’un jus et d’un pomme, on avait droit à un paquet de chips, une sorte de plaquette de caramel dur inondé de grains de sésames et d’une tablette de chocolat entière chacun (après être passé par le chocolat belge, j’avais un peu de mal avec celui-là).
Comment ça je suis exigeant Marteau Marteau.
Heureusement j’avais pris un bon petit déjeuné le matin.
Je laisse Chinook terminer le repas et discuter avec les autres pour aller faire un petit tour, histoire d’aller jeter un œil au point de vu, de prendre quelques photos d’oiseaux et d’éléphants au loin.
C’est alors que j’ai croisé un homme dont la tête me disait quelque chose sans que je me rappelle de qui il s’agissait.
Apparemment c’était réciproque puisque lui aussi me regarda fixement quelques instants.
Cependant, sa mémoire fut plus rapide que la mienne et il permit donc de me la rafraichir.
Il était accompagné de sa femme et c’était eux, le couple de canadien, que j’avais croisé la veuille près de la cascade lors du safari à pied dans le parc d’Arusha.
La dame fut impressionné par la taille du téléobjectif de mon appareil photo (c’est clair que comparé à leur mini bridge, il y avait un sacré différence).
Du coup ils me posèrent tout un tas de question sur les parcs que je connaissais etc. etc.
Ils étaient très sympathiques et j’étais content de me faire comprendre en anglais Tire la langue.

112. Un autre troupeau d'éléphant aux couleurs orangées.


113.


114. Qu'est ce donc cette chose étrange là-bas ?  Rire


115.


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« Répondre #37 le: 17 Septembre 2008 à 23:56:35 »

On reparti ensuite pour le safari de l’après-midi.
Même si l’on ne rencontrât pas de félins, l’après midi fut assez riche et diversifiée.

L’autre particularité à cette saison était la présence de quelques fleurs qui peuvent rendre encore attrayantes certaines photos.
On commença par rencontrer un couple d’autruches (devant des fleurs justement), suivit d’un troupeau d’éléphants.
Puis on s’approcha de la rivière, l’occasion de rencontrer un rapace en train de boire.
Après quelques clichés, j’espérais qu’il s’envolerait, donc je me suis tenu près pendant de longues minutes. Mais rien à faire, il n’était pas décidé à partir.
Même les babouins qui passaient à coté de lui ne semblaient pas le déranger.
Tout au plus il se retournait pour les garder de vue d’un coin de l’œil.
Plus loin on surprit une mangouste puis quelques impalas et une magnifique girafe dont j’ai tiré le portrait.
Un éléphanteau nous saluât avec sa petite trompe tandis que ses semblables broutaient, ses grattaient le derrière à l’aide d’un rocher ou se faisaient des amours au bord de la rivière.
Au milieu de toutes ces photos vous apercevrez une espèce rare, une Chinook (malheureusement pris de dos pour cette première tentative Clin d'oeil Clin d'oeil).
J’ai eu aussi la chance de voir passer une girafe juste devant un bosquet de fleurs.
Pendant ce temps nos amis les éléphants étaient tous descendus à la rivière pour se désaltérer.
La fin de la journée fut marqué part un autre troupeau d’éléphant dont certains étaient en train de s’asperger de terre, rendant ainsi leur peau de couleur ocre, ce qui les rendait particulièrement jolis.
Le temps passant trop vite, il fallut se diriger vers la sortie du parc où l’on rencontra encore impalas, zèbres et autruches.

A noter que contrairement au mois de septembre, nous n’avons pas vu un seul gnou dans le parc de Tarangire au mois de juin.
Un magnifique parc que j’ai beaucoup apprécié de redécouvrir sous une autre couleur.
Dommage que nous n’ayons pas du de félins cette fois ci.


116. Une autruche femmelle avec quelques fleurs.


117. Un troupeau d'éléphants.


118.


119.


120.


121. Le fameux aigle dans l'eau qui n'a pas voulu s'envoller Pleurs.


122. Ici en train de boire.


123.


124. Rien de semblait vouloir le faire partir.


125.


126.


127.


128. Cette photo est un montage. En fait il n'y avait qu'une mangouste.
J'ai juste rassemblé trois images dans une seule.



129.


130.


131. Une superbe girafe.


132. Ici avec son pique boeuf.


133.


134. 'Bonjour tout le monde'  J'aime.


135.


136.


137.


138.


139. Girafe avec des fleurs au premier plan J'aime.


140.


141. Remarquez l'espèce rare en bas à droite de la photo Rire (vous reconnaitrez le tee-shir Clin d'oeil)


142. Gratouille du derrière. Hum que ça fait du bien Grimaçant


143.


144.


145.


146.


147.


148. Alcyon pie


149.



150.


151.


152. Un petit panorama.


153. Et on s'enduit de terre Souriant !


154.


155. Paysage de Tarangire.


156.


157. Couple d'autruches.


158.


Direction notre lodge pour cette nuit qui se situait non loin du lac Manyara.
A notre arrivée Chinook eu encore une fois une brillante idée et me proposa de réserver une marche à pied accompagné d’un massai jusqu’au lac pour le lendemain matin de bonne heure.
Bien sûr j’étais le premier partant Souriant.
Après une bonne douche, on se retrouva pour le diner.
La salle de restaurant en extérieur était sur pilotis, la température était agréable et ils avaient mis en place un feu de camp.
C’était très agréable (en dehors des quelques moustiques) et l’ambiance safari était bien présente.
Après le repas, on resta un long moment à table à discuter.
Un des serveurs a bien essayé de me brancher ‘foot’, mais malheureusement pour lui, n’étant pas un amateur, la conversation fut assez brève.
Une coupure électrique nous fit terminer la soirée aux chandelles.
C’est ce soir là que Chinook me proposa de gouter à l’Amarula que je ne connaissais pas.
Et ce fut encore une excellente idée de sa part. J’ai bien apprécié Marteau.
Une nouvelle journée bien remplie s’achevait encore Souriant.
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« Répondre #38 le: 18 Septembre 2008 à 12:30:56 »

Le Tarangire vert est magnifique J'aime J'aime mais il l'est en toutes saisons, magnifique Clin d'oeil
Superbe l'aigle batteleur entrain de boire J'aime J'aime J'aime J'aime
Quand à la Chinook à l'état presque sauvage Rire Rire Rire j'aurais bien aimé une vue de face Clin d'oeil

Et voilà, un de plus convertit à l'amarula, bienvenue au club.
 
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« Répondre #39 le: 18 Septembre 2008 à 12:47:47 »

super suite... très sympa le montage de mangoustes  Yes les éléphants qui se grattent sur les termitières  J'aime et ma copine la gigi est bien belle aussi, j'adore le regard et la moue les naseaux bien ouverts J'aime
c'est vrai que c'est pratique de partir avec une Chinook  Tire la langue
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« Répondre #40 le: 18 Septembre 2008 à 21:27:21 »

Le Tarangire vert est magnifique J'aime J'aime mais il l'est en toutes saisons, magnifique Clin d'oeil

Je bisse !

Jolies photos des éléphants qui traversent la rivière.  Souriant

Intéressant les photos saison sèche/saison des pluies, l'ambiance est vraiment différente.

T'as eu raison d'emporter une Chinook... vaut mieux que "2 tu l'auras" !

Merci pour cette suite.

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« Répondre #41 le: 18 Septembre 2008 à 22:47:07 »

Quand à la Chinook à l'état presque sauvage Rire Rire Rire j'aurais bien aimé une vue de face Clin d'oeil
Ah c'est un animal assez craintif, qu'il faut mettre en confiance  Grimaçant Grimaçant.
J'aurais plus de succès les autre jours Clin d'oeil.


Merci pour vos commentaires
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« Répondre #42 le: 18 Septembre 2008 à 23:07:30 »

Réveil à la fraiche pour la petite ballade avant le petit déjeuné.
On rencontre notre guide massai qui nous tend gracieusement un bêton de marche chacun.
Bâton qui pour ma part avec l’appareil photo entre les mains se révèlera bien plus encombrant qu’utile.

Le camp est à dix minutes à pied du lac. Sur le chemin il nous montre quelques zèbres qui trainaient par là et nous explique les vertus de certaines plantes.
Mais la véritable attraction de cette marche est le lac (alcalin) et ses flamants roses.
Et pour le coup, ils étaient relativement nombreux ce matin là.
Arrivé en bordure du lac, on se s’aventura pas trop loin car le sol devenait rapidement humide.
Là clairement, 300 mm était beaucoup trop court. Limite je faisais de la photo de paysage avec Clin d'oeil.
Mais le contraste entre la couleur rose des flamants et la montagne et le ciel bleus étaient très intéressant

On resta plusieurs minutes à cet endroit.
Tout à coup, sans crier garde, voilà notre guide massai qui s’avance un peu, le met à courir et agite sa ‘couverture’ dans tous les sens tout en criant.
J’avoue que j’ai été quelque peu surpris et j’ai du mettre quelques secondes avant de m’apercevoir que c’était pour faire s’envoler les flamants.
Mais comme entre temps j’avais retiré le téléobjectif de l’appareil, pour mettre le transtandard, les photos n’ont aucun intérêt.
C’est bien dommage car si j’avais su j’aurais gardé le télé.
Enfin bon c’est ainsi et on en a tout de même bien profité.

Retour au camp, mais en effectuant une boucle ce qui nous a permis d’observer un petit troupeau de gnous arrivant au galop.
J’avoue avoir été surpris d’en rencontrer ici étant donné que l’on n’en avait croisé aucun à Tarangire à cette saison.

159. L'interieur de ma 'tente' à moi tout seul. On ne peut pas dire que je manquait de place Clin d'oeil.
(C'est un assemblage de plusieurs photos)



160. Et voici l'aspect extérieur des tentes du camp.


161.


162.Notre guide massai ouvrant le chemin



163.


164.


165.


166.


167.


168.


169. Le guide massai en train d'agiter sa couverture pour faire s'envoler les flammants.


170. A wandering man.
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« Répondre #43 le: 18 Septembre 2008 à 23:13:27 »

171. Le troupeau de gnous au galop.


172.
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« Répondre #44 le: 18 Septembre 2008 à 23:49:42 »

De retour au camp, on alla prendre le petit déjeuner.
On a eu droit entre autre à des crêpes ce matin là Yes.
Kassim nous rejoignit et on discutât tous les trois un petit moment.
Avant de partir je suis allé payer les boissons de la veille.
J’avais trouvé que ce n’était pas donné, mais je ne n’avais pas prêté plus d’attention.
Ce n’est que le lendemain en retombant sur la facture écrite à la main que je me suis aperçu que 2 amaluras à $4 chacun ça faisait : 2x4 = $16 … Marteau
Bon on dira que c’était pour la bonne cause Clin d'oeil.
Sur la route j’ai demandé à Kassim de s’arrêter si on croisait un vendeur de bananes rouge.
Lors de mon précédent voyage le guide que j’avais eu m’avait dit qu’elles étaient super bonnes, mais je n’avais pas eu l’occasion des les gouter, j’étais donc curieux.
Aussitôt dit, presque aussitôt trouvé dans le premier village que l’on traversa.
J’avoue avoir été quelque peu déçu.
Non pas qu’elles soient mauvaises, bien au contraire, mais je n’ai pas trouvé de différence de goût notable avec les bananes standard que l’on trouve là-bas.

On reprit la route principale qui va vers NGorongoro, celle qui au détour d’un virage offre un joli point surplombant le lac et le parc Manyara où l’on s’arrêta quelques instants.

Dans la journée on visita quelques lodges et campings pour Chinook.
Mine de rien ce fut pour moi-même l’occasion de voir un peu ce que l’on pouvait rencontrer (du camping basique au lodge luxieux).
J’en ai également profité pour photographier quelques fleurs, passer le long d’une plantation de café et voir quelques œuvres artéritiques de bungalows censés représenter des baobabs absolument immondes … Marteau No (enfin de nos points de vues).

173.


174. Graines de café.


175.


176.


177.


178.


179.


180. Les fameuses oeuvres d'art ...
Ils étaient encore en construction, j'espère que ça s'arrangera mais j'ai peur car ils avaient l'air bien fini quand même.



181. Les fameuses oeuvres d'art ...


182. Le lac Manyara vu depuis un lodge.


183. Une jolie petite arraignée Clin d'oeil.


184. Dans l'après-midi on longea un village africain comme ceux qu'on représente dans les livres pour enfants avec les cases typiques africaines.



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