9ème jour : Kruger NP : OlifantsRéveil matinal, comme d’habitude.
Quelques difficultés pour extraire les boissons du frigo, afin de constituer le bac frigo que nous emporterons pour la matinée.
Une grenouille s’est scratchée littéralement sur la porte et a pénétré à l’intérieur du frigidaire, un certain temps pour l’aiguiller afin qu’elle ressorte.
Nous sommes à la Gate 20 min avant son ouverture, il fait déjà 22°C ! à 6h-20 !
Le garde monte le drapeau et ouvrira la barrière à l’heure.
H1-4
1er spot, une femelle hyène allaitant son petit. Elle a la gueule arrangée, probablement le résultat d’une chamaillerie ?
Zèbres, phacochères, beaucoup d’impalas en pleine course. Délirants tous ces bonds.
Girafes, éléphants avec petits
A nouveau des hyènes, deux jeunes qui se disputent un petit os.
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Pintades… Toujours aussi désordonnées !
JP s’exclame et je note : "Plus le cerveau est petit, plus ces animaux sont bons à manger !"
Pintades et autruches ne sont décidément pas ses copines ! Si dans l’assiette ! Oup’s pardon !
Mais aussi gnous, éléphants, un magnifique chacal
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H1-4 (aller- retour)
Un rollier d’Europe en pleine séance de gratte
On attendra la fin de sa toilette, espérant qu’il s’envole, pour tenter la photo, mais quedal, il se cramponne bien à sa branchette.
Je vous passe le nombre infini d’attentes de ce genre !
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Waterbuck mâle, Veuve de paradis (magnifique oiseau et une première pour nous, mais décidément une focale trop limite, pour en tirer une image correcte)
Une girafe, qui fait son numéro de clown autour d’un épineux, juste à sa hauteur et frêle en largeur.
Des zèbres, des zèbres et encore des zèbres. (Comme les hyènes, cette année on a la collection !)
Ils affectionnent particulièrement ces zones brûlées, où ils s’y roulent avec frénésie.
Entre portrait, action, file indienne, allaitement, il y a de quoi faire…
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Buffles, outarde Kori, bucorve du Sud
Au pont de Balule
Un hippo à hauteur des roues, nous gratifie de sa gueule bien fermée… Que de moments passés à attendre qu’il l’ouvre, juste une fois… Que Neni !
Si ces 2 narines, tels des périscopes, ça oui.
La vue est belle (on dirait un mini Okavango qui se profile au loin)
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Bergeronnette pie (aussi une première)
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Pont Olifants
Les mêmes hippos que la veille, qui roupillent, toujours les choucadors à oreillons bleus, qui envahissent la zone
Un juvénile
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Retour au camp, le drapeau hissé flotte toujours
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Il fait terriblement chaud, juste un sandwiche à la confiture, une bonne douche, un coup d’œil sur les photos, que l’on s’écroule littéralement
Retour en Drive, vers 14h45. Il fait 42°C
On monte vers le nord et c’est véritablement le No man's land…
On roule, mais rien à l’horizon. Il fait sans doute bien trop chaud et les animaux se planquent à l’ombre.
On s’arrête en bordure de rivière, quelques hippos nous font grâce de leur passage, avant d’aller se planquer au loin, pour une sieste.
On rentre au camp et sur la route du retour, un troupeau d’éléphants quitte les abords de la rivière pour remonter sur la piste.
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Il y a même un éléphant rose ! Véridique ! Un albinos sans doute, rosé de peau et les cils blancs…
Un autre jeune a la trompe littéralement peinte avec les déjections de sa mère…
On éclate de rire à la vue de ce dernier ! Pauvre chou !
Puis les grands montent sur la piste, et c’est avec prudence et naturel que nous cédons le passage
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Arrivés au camp, on va chercher nos sandwiches et burger à emporter, pour déguster tout cela en terrasse de bungalow.
Il fait trop chaud pour faire un Braai.
Il est 18h30, les estomacs requinqués, peu de tofs à décharger ce soir (au vu des nos nombreuses observation de cet aprem)… C’est donc apéro et farniente !
Tiens les grenouilles sont deux, à présent…
Et puis, il y a ce gros criquet qui me saisi…
Le bonheur d’une douche, quelques pages d’un bon bouquin, l’air co tourne et insonorise tout.
On sombre de chaleur et de fatigue.
A suivre...
