Comme nous avons deux voyages effectués et à partager… Que ceux-ci se sont déroulés à des saisons différentes : hiver austral et été austral…
Il nous semblait intéressant de mixer les tons de sable et les couleurs menthe à l'eau, pour vous présenter en même temps les différentes facettes environnementales de ce lieu fabuleux qu’est le Kgalagadi Transfrontier Park.
La présentation ne sera donc pas chronologique, mais liée d’avantage à des espèces ou à des thèmes.
Nous n’avions jamais connu le Kalahari aussi sec (en 09 –10.10) et vert (en 01-02.11).
En hiver austral, la poussière avait envahi les pistes, les plaines… Les points d’eau étaient pour la plupart à sec !
Les springbok n’avaient pas mis bas et attendaient les premières pluies pour le faire.
En été austral, nous pensions retrouver un KTP inondé, avec des pistes impraticables… Bien que les inondations aient touchés pas mal de provinces sud africaines en ce début d’année et que nous avions reçu, juste avant notre départ des images d’Upington sous eau… Il n’en fut presque rien…
Les grosses pluies ont repris leurs cadences, juste avant notre départ, par contre le parc était luxuriant et bien fleuri.
Au cœur d’un environnement en deux teintesPour prendre le contrepied de ce que nous présentons habituellement, nous débuterons ce carnet avec quelques plans larges replaçant l’animal dans son environnement.
Des oryx sur fond de tapis olive…
L’été permet à ses petits buissons de reprendre toute leur texture… Offrant généralement des paysages garnis tout en restant un brin poète.
1.
Hyènes à la course, sur fond de plaine aride… Seule la poussière soulevée fait écho de leur passage.
2.
Au pied des dunes, la grande Dame… Que l’on ne trouve que dans la vallée de l'Auob.
Les girafes se déplacent généralement entre Mata Mata et Urikaruus…
Lors de nos derniers séjours, nous avons vu 2 groupes différents d’une bonne quinzaine d’individus.
Les kills de lion sur girafe ne sont pas rares, dans cette vallée. Cependant la population semble globalement se maintenir...
3.
Les cavités rocheuses sont les lieux de prédilection des léopards…
Il faut avoir un œil parfaitement aiguisé, pour les repérer, quand ils sont blottis dans leurs caches…
Scruter les arbres a du bon aussi et parfois la chance souri en les rencontrant en plaine (généralement au moment de la traversée de la vallée d’un bout à l’autre, ou allant se désaltérer)
Ici, un ado, pas loin d’Urikaruus… Remontant une dune sous l’œil attentionné de sa mère, allongée non loin.
4.