Merci à tous.
5ème jour : Kruger NP : SkukuzaOn émerge vers 4h45.
Même petite habitude : un kawa bien chaud pour l’un, un coca bien frais pour l’autre…
Bref, que du dopant, pour avoir mirettes et esprit en éveil.
Le ciel était légèrement étoilé hier soir et pourtant ce matin, le ciel est encore bien couvert.
Le gardien, fort matinal, nous ouvre la Gate, 10 min avant…
A peine, le Xtrail a-t-il franchi, la barrière, qu’il se met à pleuviner, avant de dracher littéralement.
M**, ce n’est pas vrai !
Ca ne va pas recommencer ! Continuer, durer… Ce climat !
On file directement en direction du terrier des hyènes. Il n’y a que trois individus : une femelle et deux piouts dont "notre" Firmin, une vraie canaille.
Firmin sort de son terrier
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(TC 1.7)
Manifestement, il pique encore du nez !
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(TC 1.7)
Avant de téter maman et de s’endormir à ses côtés.
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(TC 1.7)
On restera, une nouvelle fois, un bon bout de temps sur la scène.
Découvrant, les jeux des jeunes, c’est à qui mordille le plus, la tête, la cuisse du compère.
De temps en temps, une pause et ils se mettent à rêvasser aux fleurs, avant de les croquer.
Un ricanement puissant, émerge du bush, avant l’arrivée de deux autres adultes.
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(TC 1.4)
Probablement un festin, dans le coin (cela va s’avérer juste, quand plus tard, nous apercevrons Firmin qui tente de sortir de la tanière, une paire de cornes d’impala)
Un petit coup, à boire sur la piste
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(TC 1.7)
La pluie redouble, le ciel s’assombrit… On regarde à présent, le spectacle de nos yeux.
Toute la petite famille, se faufile à l’intérieur du terrier… On décide donc de reprendre la route.
Petit bout de la S4 et de la S3 en terre et à trois reprises, des tortues léopards (un des Little Five), qui profitent de l’aubaine des flaques sur la piste, pour venir y patauger et s’abreuver.
Un spectacle tout mignon.
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(TC 1.4)
Piste S65
Quelques impalas et un Grand-duc de Verreaux.
Il est tordant, à chaque déclenchement… Il pointe son regard sur les objectifs, avance et recule sa tête, quand il ne nous sort pas le grand jeu du tourbillon facial !
Un environnement assez boisé, mais une scène qui nous a bien fait délirer.
Le ciel devient plus clément et le soleil filtre avec bonheur et l'eau s'évapore à une vitesse!
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Un snake… Tout noir ! Pas un Mamba pour sûr… Mais lequel
JP s’empresse de filer ! Pas le temps pour mieux l’apercevoir, ni le photographier !
On ne badine pas, avec la phobie du conducteur !
Quatre Oréotragues, perché au loin et une multitude de papillons colorés.
Reprise de la H1-1 vers Skukuza
Un calao à bec jaune qui se tape Dame chenille, en apéro
Quelques éléphants, phacochères et un sublime choucador de Burchell
Retour au camp, courses d’usage, pique-nique, déchargement des photos.
Je vais me balader, près de la rivière (notre bungalow étant en bordure de camp)…
Profitant du soleil, d’un ciel bleuté à souhait et espérant quelques oiseaux, que j’entendrais mais ne verrais pas.
Pas de sieste aujourd’hui.
14h00, on charge les quelques bagages dont on a besoin, on met le contact et Paf ! Il se met à pleuvoir ! Ca fait qu’on vient de passer, deux bonnes heures dans le camp, sous un soleil radieux et que maintenant ça recommence ! Là ça commence doucement à nous gonfler sérieusement…
Après avoir grommelé quelques minutes, le côté philosophe reprend le dessus et on ne boude déjà plus, notre grande chance, d’être ici.
H1-2
Babouins, impalas, waterbucks, éléphants…
Que de rencontres, mais aucune photo ! Il drache de trop et les animaux se tapissent sous les arbres !
On roule, roule… La pluie cesse enfin.
Deux minuscules tortues sont perchées sur un petit promontoire rocheux.
A peine l’objo posé sur le Bean-bag qu’elles nous font un pied de nez royal, en plongeant têtes et corps dans la flotte !
Le soleil c’est bien, c’est chaud… Mais qu’est ce que ça met en évidence les immenses toiles d’araignées dorées (des Golden Spider) qui s’étirent entre les arbustes.
Plus moyen de faire… 10 m, sans tomber dessus.
Je laisse JP s’éclater, regardant pour ma part, de loin et bien calfeutrée…
Je n’ose imaginer les photographier moi-même… Prendre le temps de faire une mise au point sur ces bestioles et je défaille !
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(TC 1.7)
Un peu de poésie, pour faire passer!
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(TC 1.7)
On repasse sur les fameux ponts, une ombrette version punkie, nous amuse beaucoup…
Les plumes de tête, en poupe !
Aux abords des ponts, il y a toujours quelque chose à voir.
Le seul problème étant de pouvoir rester suffisamment longtemps en place, sans être dérangé par d’autres véhicules qui vont et viennent.
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Direction le Hide de Lake Panic, où nous avons prévu d’être là vers 15h30 au plus tard.
Un héron cendré s’applique à pêcher, un anhinga d'Afrique se fait sécher les ailes.
Un duo d’oedicnèmes vermiculés pousse des cris stridents, quatre alcyon pie voltigent d’un arbre à l’autre, d’une souche à l’autre
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(TC 1.4)
Jacana, busbuck femelle…
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(TC 1.7)
Mais toujours aucun hippo à l’horizon, alors que le temps est enfin si clément.
On patientera, jusqu’au maximum… Ils s’approcheront, mais bailleront derrière des souches d’arbre !
JP a les nerfs qui lâchent !
Tout ca pour ça ! Hé ! Oui !
Il est temps de rembarquer le tout, si l’on veut être de retour au camp à l’heure.
18h00, on y est !
Pas de resto (d’ailleurs, nous n’en ferons finalement aucun dans Kruger), préférant la quiétude de notre terrasse et les joies du braai qui crépite.
Steak, salade de tomates et une feta à se faire éclater les babines !
Une coupure de courant et une voie lactée à faire pâlir d’admiration !
Cette fois-ci c’est peut-être la bonne, demain le ciel sera plus généreux… Nous l’espérons !
A suivre….
