Après-midi.C’est reparti dans le Serengeti, vers un point d’eau que le guide connait bien, où il se passe souvent quelque chose. On s’arrête pour admirer quelques hérons à tête noire. A 4 mètres, aucune réaction de leur part. Pour moi, qui ai déja essayé de “pister” des hérons dans les marais, je n’en reviens pas ! Ici point besoin d’affut. Les hérons se moquent éperdument de notre présence, et je n’arrive même pas à en prendre un au décollage, c’est un comble. Tant pis, j’en profite pour leur tirer le portrait.
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Un peu plus loin, une outarde Cori.
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Nous arrivons près du point d’eau (ils sont très nombreux en saison humide, donc les félins sont dispersés.) On repère un bel arbre à saucisses.
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Et, tout naturellement, on voit notre premier lion, qui était couché sous l’arbre, et que l'on sort de sa sieste.
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Séquence admiration, normal, c’est le premier

. Sa majesté nous fait la grace de faire quelques mètres, et, épuisé par cet effort, se recouche.
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Comme l’herbe est haute, il disparaît...

On approche du point d’eau, où deux lionnes et un lion se reposent. On ne pourra admirer que l’une d’elles, magnifique, qui nous toise de loin, somptueuse au milieu des herbes qui bordent la mare.
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Il y a bien un mâle, mais il a décidé de ne pas se laisser transformer en pixels, et ne nous laisse entre apercevoir qu’une infime partie de son anatomie, en forme de point d’interrogation, comme s’ils disait: “Tiens, que faites vous là ?”

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Quand même, quel manque de savoir vivre envers les touristes...

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Nous repartons donc, émus d’avoir vu nos premiers félins. Nous sommes à côté d’un Kopje, et nous en profiterons pour observer une bande d’agames.
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Des descendants directs des dinosaures... à l’évidence.
Et encore un rapace, tête et bec noirs, plumage uni brun, bande gris-blanche transversale à la base de la queue, et que je ne sais pas identifier...

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