Vendredi 22 Février.Il faut quitter cet endroit de rêve à regrets, car nous faisons route vers le Tarangire où se terminera notre safari. Le parc des élephants, des baobabs, et des léopards. Nous y arrivons pour déjeuner, dans un lodge de tentes sympathique, sur la hauteur devant la rivière Tarangire. Tentes “tout confort moderne”... avec l’eau (froide) courante. enfin un peu...
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On part illico au pays des baobabs
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Découverte assez rapide d’un groupe de 8 lionceaux, sur un monticule rocheux surplombant la rivière Tarangire. Il sont absolument superbes., on passera un long moment à les observer.
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Celui là fait des mimiques particulièrement droles, que je vous livre...
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La vie de famille, quoi !
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Ils ont l’air calmes, mais quand une troupe de babouins passe en criant, les oreilles se dressent.
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Mais non, ils n’ont pas faim, et s’installent pour une petite sieste.
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La rivière Tarangire est un peu à sec en cette saison.
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A ce moment de notre observation, la radio du guide grésille, et une voix le prévient qu’un léopard est repéré non loin dans un arbre. On démarre en abandonnant nos lionceaux, et on file sur le spot. On ne sera pas tout seuls, et cela va être très dur pour la photo. Mais tant pis, j’ai eu mon léopard.
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Il y a trop de monde sur le spot, 4 ou 5 voitures, et le léopard décide de grimper dans l’arbre. Aaaaaaaargh...
Là, au milieu des branches, je découvre toutes les joies de la photo d’un léo au milieu d’un arbre, les petites branches devant les yeux, l’AF improbable, etc, etc... J’en tirerai deux potables sur 200. C’est bien, je suis heureux. ça aurait pu être zéro.
L’animal me scotche par son élégance et sa beauté.
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Quel souvenir ! Il faudra absolument revenir au Tarangire, c’est un endroit qui m’a séduit à 100%.
Il faudra d’ailleurs absolument revenir au Serengeti, au N’gorongoro, au Lac Manyara. Bon j’ai compris...
On s’arrache à la contemplation du léopard après un -très- long moment, et on est consolé par une famille de lionnes avec les petits. C’est l’heure du jeu. Je craque à la vue du spectacle, de la tendresse incroyable que cette lionne a pour ses lionceaux. Scotché je suis par ces ébats, et je ne résiste pas à l’envie de les mettre ici.
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Le jour tombe, il faut rentrer au lodge. Une bonne douche, puis la détente devant la tente en contemplant la fin du jour sur les baobabs en face, avec les bruits des animaux en toile de fond. C’est un souvenir unique, et il faudra absolument le renouveler.
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La fin du jour
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La pleine lune du Tarangire (à main levée, ne pas trop regarder les bords...)
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