15.09.07Dernier jour dans le parc et nous ne voulons certainement pas rater les premières secondes d’ouverture…
Kojak, nous précède et se dope aux vitamines, une carotte fraîche à la main !
Ne tardent pas à suivre les deux 4x4 spéciaux Nikon…
On file directement sur Kij Kij…
On ne perd rien, les autres pans sont vides…
Kij Kij et les lions ont disparu (pendant la nuit probablement), reste encore une quinzaine de chacals à s’affairer sur les infimes restes des proies.
Un vanneau couronné, tout de même…
On entame la petite route dunaire et là c’est le paradis pour les petits animaux…
Nous roulerons au pas, pour saisir écureuil terrestre, mangouste jaune mais surtout rat siffleur de Brandt.
Toute cette petite faune qui se dissimule sur le sable rouge des dunes, n’est que pur émerveillement et le paysage n’est pas en reste non plus.
D’autres rencontres : steenbok, autruches, éland du cap, oryx…
Et un dernier clin d’œil à cette nature que l’on aime tant par le biais d’un chat sauvage africain.
Qu’elle est belle la nature, on sent la fin de ce voyage et ces dernières bribes que l’on peut absorber nous font le plus grand bien.
La piste qui relie le camp de TW est assez déserte…
L’on retiendra surtout un groupe d’une petite dizaine d’écureuils terrestres, dans un même terrier.
Un dernier regard sur éolienne et pan…
Et nous franchissons la barrière qui ramène au camp, regonflage des pneus, pour emprunter la sortie définitive (pour cette année… On a bien l’intention d’y retourner)
Comme un signe, le ciel se couvre de gris...
(En face le Botswana)
Un bon coup de gravel road pour remettre les esprits tristounets en place... Bang Bang Bang!
Et reprise de cette route rapide qui file, file vers Upington.
Un dernier arrêt avant la ville, pour découvrir la petite réserve de Spitskop…
Ici on paie à l’entrée en compagnie du poulailler et on ouvre la barrière soi même…
On croise aussi un pignouf, l’arrière du pick-up bondé de nénettes, les baffles qui hurlent un affreux son de mauvais rap...
Ca pue l’attrape touristes !
Et comme de fait, les abords des pistes sont vides, vides, vides… Une vache, un dromadaire…
Et les fameux springboks noirs (c’est pour cela que nous y avons été), hyper craintifs (normal si la plupart des visiteurs sont de la même vaine que l’unique que nous avons rencontré… ça ne doit pas inciter les animaux à la confiance !)
Juste pour le souvenir…
Pour couronner le tout, le temps se lève et le ciel est à l’orage…
Une fois, mais pas deux, nous ne remettrons plus jamais les pieds, ni les roues ici !
Retour à la GH… Une petite connexion COW et un bon repas chez Jackie. (de l’agneau à la broche !)
20h30 on s’écroule…
16.09.07 et 17.09.07Rien de bien folichon à vous raconter…
Une journée tranquille à la GH (l’horaire du vol interne UTN-JNB a été reculé à 16h50, lorsque nous l’avions appris, nous serions restés une nuit de plus dans le KTP, mais il n’y avait plus aucune place de libre…)
On retrouve notre couple de "désensablés", pour le vol interne
JNB…
Le test d’un petit massage (le pied !) en patientant pour le long vol du retour.
23h40 on décolle… Le coeur serré.
RDV en 2008, pour de nouvelles aventures, nous l'espérons.