J'avoue que je ne ma suis pas trop posé cette question et n'en sais pas plus que Fendleroc sur le sujet.
J'ai juste observé qu'il y avait un joint au niveau de la trappe de la carte mémoire.
Maintenant, comme tous les appareils à objectifs interchangeables, la chambre noire est toujours
une zone de pénétration sensible au moins lors des changements d'optiques et je fais preuve
d'attention et de célérité lors des permutations.
Peut-être qu'un jour on aura des boîtier qui "feront le vide" après chaque changement de caillou...
Car si l'on fait rentrer de l'humidité par là, dans un appareil qui "ne respire pas",
je me demande si ce n'est pas pire...
Sur les pistes des réserves, entre 2 points de shoot, en cas de dépassement d'un ou par un autre véhicule,
mon boîtier, s'il n'est pas dans son sac photo fermé, est toujours enfilé dans un sac plastique
ou au moins recouvert par mon blouson. ce même blouson recouvre parfois aussi mons sac.
Bref, mon appareil n'est à l'air libre que quand je m'en sers ou sur le point de.
C'est une faible protection, mais c'est toujours un peu moins de poussière directement sur le boîtier.
Quant-à l'eau, il n'a pour l'instant essuyé que quelques rares petites gouttes rapidement épongées,
surtout sur l'objectif en fait, dans les "minibus à safari" on est assez protégé par le toit ouvrant
mais l'objectif dépasse parfois. j'ai aussi une fois dû protéger mon boîtier en l'enfilant dans un manchon
improvisé avec un sac plastique sacrifié en y pratiquant une ouverture du diamètre du pare-soleil,
et fixé à cette extrémité par un gros bracelet élastique (que je regrette d'avoir égaré je ne sais où).
Voilà pour le ruissellement. Même si je sais que mon D200 est plus ou moins tropicalisé,
je patique un peu toujours de même, comme pour tous mes boîtiers...
A+ !
Msongo.