Merci à tous.
C'est la première fois que je faisais un voyage "organisé" où je ne me suis occupé de rien. Nous arrivions au quai, il y avait le bateau. On arrivait dans un resto, on nous attendait. De retour de ballade, le taxi ou la charrette étaient là..... etc. C'était très confortable de se laisser entraîner mais du coup je n'ai que peux d'infos à vous donner pour les détails, les tarifs etc ...... Bon ceci dit, je peux les avoir puisque c'est un copain qui nous a drivé.
Nous arrivons à l'avant dernière série avec cette sortie dans le delta du fleuve Sénégal. Nous avons pris une grosse barque pour promener dans les bolongs pendant plus de 2 heures. Il est préférable de faire cette sortie le matin ou le soir. Parce que, comme tout le monde le sait, les oiseaux comme beaucoup d'autres animaux sont beaucoup moins actifs en milieu de journée.
111 - Notre moteur remue l'eau et surement des nutriments. Du coup les guifettes et les sternes nous accompagnerons tout au long du trajet. Une guifette moustac.
112 - Ce delta est un lieu important d'hivernage des hérons pourprés.
113 - Et des bihoreau gris.
114 - L'aigrette intermédiaire est également assez courante. Ici en compagnie d'un jacana.
115 - La pygargue vocifère est également bien présente.
116 - Les jacanas à poitrine dorée sont nombreux. Un juvénile.
117 - Un cormoran africain avec un poisson chat.
118 - Les pélicans blancs sont très nombreux, environ 15000 oiseaux donnant 4 à 5000 poussins chaque année. C'est la star !
119 - Mais déjà le bateau prend un virage, il est déjà l'heure de rentrer.
...... j'en profite pour photographier encore une fois le balbuzard.
120 - Et le grand gravelot.
121 - Mais sur le chemin du retour nous avons une belle surprise avec cet oiseau tellement rare chez nous. La glaréole à collier, encore un superbe limicole.
122 - Comme c'est l'avant dernière série j'abuse un peu plus avec cette belle outarde arabe qui vit dans les friches.
123 - Je finis enfin cette série avec l'annhinga d'afrique.
124 - Ha j'oubliais ...... nous sommes rentrés avec les sternes caspiennes accrochés à notre écume.
