Casse croute terminé, nous reprenons la route : il reste encore un bout de chemin à faire, quelques patisseries mondialement connues à déguster.
(Nous faisons effectivement attention à ne pas rouler trop vite comme nous le rappelle fort justement Samapi
)
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197 La piste, belle et infinie ...
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Nous faisons une pause bien méritée à Solitaire (nous venons de nous prendre une pierre grosse comme un œuf de poule dans le pare-brise à cause d’un fada qui roulait à tombeau ouvert sur la piste en mauvais état). Les parts d’Apfel Strudle sont énormes, on en prend une pour deux, mais finalement elles sont tellement délicieuses qu’on regrette : une chacun, c’est encore meilleur !!
Nous arrivons –enfin- au campsite de Sessriem. Là encore, les réservations NWR ont parfaitement fonctionné. On nous attribue l’emplacement n°5. Il fait partie des tous premiers à l’entrée du campsite, pour la tranquillité ce ne doit pas être le top. Je négocie avec l’employé de la réception, lui montre mon plan du camp et lui dit que je veux absolument du calme. Résultat des courses : emplacement 28. Pas un voisin à moins de 75 m, la piste d’accès à 150m, que du bonheur. Bon, il vaut mieux ne pas oublier sa savonnette quand on va à la douche, mais le coin est vraiment super.
199 Seuls au monde ... sur fond de dune Elim
200 On n'est pas bien là ?? hein ?
Les petits explorateurs ont envie de tester la piscine, alors la dune Elim attendra un peu. Nous nous mettons en route vers 16h et achetons le "Permit" pour entrer dans le parc. Celui-ci nous servira aussi pour demain matin. Le trajet jusqu’à la dune Elim est très court, mais l’ascension, elle, n’en finit pas. Chaque monticule que l’on gravit en précède un autre. Il faut se résoudre à renoncer au coucher du soleil. On profite du paysage, du silence, et on laisse aussi retomber le rythme du palpitant.
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204 Le programme de demain matin.
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La descente se fait en quelques minutes à peine, le temps de croiser un criquet gigantesque.
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Retour au camp, montage des tentes, douches, et à la nuit venue, direction le restaurant du campsite. Le chemin qui nous en sépare est parcouru à pied, et nous découvrons un ciel étoilé magnifique, et une voie lactée insoupçonnée. Désolé pour les photos, il faudrait un matériel un peu trop sophistiqué pour l’amateur que je suis…
Le repas sera de ceux dont on ne se souvient pas, seul restera l’attente, et le bruit des Italiens. A se dire que le problème en Namibie au mois d’aout (on se souviendra aussi de Halali), ce sont les I… Mais finalement, on est mieux sous la paillotte du restaurant que dehors, car la nuit est glaciale.