Probablement pas tout a fait ce que recherche Pikasso puisque l'on ne maitrise pas les isos (qui constituent la variable d'ajustement). Ceci dit personnellement je ne trouve pas très compliqué d'appuyer sur le bouton isos tout en faisant tourner la molette pour ajuster les isos. Bon ok, une molette dédiée serait encore mieux. Pendant qu'on y moi je commanderais bien une 4° molette pour les sur/sous exposition

. Ça va commencer à faire beaucoup...
Jérome
Oui..il faut bien une variable d'ajustement...quoique
Puisque les molettes vitesse et diaphragme restent fonctionnelles et il est donc possible quand même de faire varier les iso.
Il reste à utiliser la bonne molette en fonction du "sacrifice" le moins pénalisant: soit vitesse soit diap et les iso s'ajustent. On les "maîtrise donc;)
La variation des sur ou sous exposition devient presque inutile, puisqu'avec les fichiers raw, nous avons deux IL en + ou - en post- traitement....attention tout de même aux sur-expositions
Pour répondre à la problématique de Pikasso et de bien d'autres photographes:
La véritable innovation serait un automatisme faisant le choix du "meilleur compromis" entre vitesse / diaph / Iso.
Cela serait faisable en tenant compte de l'objectif utilisé, de la distance de mise au point, et de la mesure de la lumière:
focale: paramètre de vitesse pour la limitation des flous de bougé
distance de mise au point; paramètre du diaphragme afin d'optimiser la profondeur de champ
quantité de lumière: paramètre des iso pour la gestion du bruit
Il serait facile de modéliser ces trois facteurs ajustables dans un mode programmé. Mais bien sur, comme toujours, il y a des limites d'un tel système.
Il resterait alors à travailler dans les autres modes...