Jour 7 : Vendredi 5 aoûtLe réveil est glacial avec un vent à décorner les bœufs. Je savais que les nuits allaient être fraîches, voire froides, mais pas glaciales à ce point-là.
La boutique du lodge est la bienvenue, je m'y précipite pour acheter une polaire supplémentaire. Je fais maintenant partie du club (pas si fermé que ça) des touristes qui se promènent avec une polaire brodée au nom d'un lodge (m'en fiche, j'ai chaud, et c'est bien le principal !)
On prend la direction de Luderitz avec l'espoir d'apercevoir les fameux chevaux sauvages.
59. "Bip-bip" version namibienne60. On doit plus être très loin… 61. Mais on ne doit pas encore être très réveillés ce matin, parce que ni ma femme, ni moi ne voyons le panneau qui mène au point d'eau artificiel créé pour eux. C'est un mal pour un bien parce qu'un peu plus loin, on aperçoit un groupe de 8 chevaux sauvages à quelques centaines de mètres de la route.
On descend de la voiture, et avec un peu de patience, ils nous laisseront les approcher jusqu'à une vingtaine de mètres.
62. 63. 64. 65. 66. Contents d'avoir pu voir et approcher des chevaux sauvages, on prend la route en sens inverse. Ce coup-ci, on ne loupe pas la piste qui mène au point d'eau. Il n'y a aucun cheval à proximité du bassin, les seuls chevaux sont à plusieurs centaines de mètres. Avec les jumelles, on arrive cependant à les observer en train de se cabrer et de jouer entre eux.
La suite de notre périple d'aujourd'hui nous fait repasser par Aus, et prendre la légendaire D707. On comprend très vite pourquoi elle est si connue : montagnes à droite, plaines d'herbe vert pâle et début des dunes ocres à gauche. Un régal pour les yeux !!!
67. 68. On quitte la D707 pour prendre la piste qui mène à notre lodge du jour : 12km qui s'enfoncent toujours plus profond dans les montagnes, avant d'arriver au lodge, perdu au milieu de … rien !
On profite du temps qu'il nous reste avant la fin de la journée pour aller faire une promenade dans les montagnes environnantes.
69. Le soir, le diner est aux chandelles, tous autour de la même table, avec les 2 propriétaires, une famille d'Allemands et un autre couple de Français. Au menu, un goulash d'oryx. Ce qui est sur, c'est que ce n'est pas en Namibie qu'on va perdre du poids …
A suivre ...