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Auteur Fil de discussion: Zimbabwe 2009 - Eco-volontariat à Hwange  (Lu 42987 fois)
Marariver
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« Répondre #15 le: 07 Février 2010 à 21:29:06 »

Très intéressée, moi aussi, de lire et admirer un nouveau récit différent. J'adore les safaris, les paysages et la faune africaine mais je suis très sensible à ta démarche. Tes photos sont très belles et nous mettent l'eau à la "bush" mais j'ai hâte de lire ce qui concernera la raison principale de ton voyage !
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« Répondre #16 le: 10 Février 2010 à 10:16:49 »

Pendant ce temps, au point d’eau, c’est « open bar » pour les zèbres et les buffles. Cette saison très chaude se prête parfaitement à ces grands rassemblements d’herbivores auprès des points d’eau principaux.
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Le dénombrement des troupes d’éléphants s’approchant du point d’eau était quasiment impossible mais une estimation de 300 semble raisonnable.
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Ils semblent arriver de tous les points cardinaux à cette heure.

Ils vont chasser les buffles et zèbres du point d’eau malgré la résistance de certains buffles entêtés.
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« Répondre #17 le: 10 Février 2010 à 19:22:11 »

Le spectacle de leur bain est grandiose. Les groupes (ici des groupes uniquement constitués de femelles adultes et de jeunes mâles) se succèdent avec une sorte d’organisation très bien rodée où chaque groupe reste à sa place et semble avoir obtenu un créneau horaire pour se désaltérer.

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Beaucoup d’oiseaux sont également de la partie dont des milans à becs jaunes qui sont les premiers oiseaux migrateurs revenant dans la région pour la saison humide.

Une outarde de kori s’enfuit dans la savane alors qu’un rollier nous observe depuis son arbre.
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Un rollier nous surveille depuis son perchoir.
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Je vous épargne les hardes « habituelles » de gnous, impalas et autres kudus disséminés sur cette plaine.

Nous allons passer pas mal de temps uniquement à observer et à admirer ce spectacle grandiose mais il ne faut pas oublier notre chère lionne et sa blessure. Revenons un peu à la raison de notre présence ici. Clin d'oeil

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« Répondre #18 le: 14 Février 2010 à 21:33:17 »

La lionne se déplace avec difficulté en boitant pour aller trouver une autre place à l’ombre un peu plus éloignée des troupes d’éléphant.

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L’objectif pour nous est de tenter d’identifier à quel groupe elle appartient et la nature de sa blessure. En effet, les animaux blessés par des collets sont nombreux dans le parc et il s’agit d’une des menaces les plus sérieuses pour les carnivores en particulier.
Nous photographions donc la blessure et les signes d’identification. Nous ne sommes pas équipés pour tenter d’immobiliser l’animal et cette petite investigation doit donc être menée depuis le véhicule.
Elle a trouvé un emplacement plus tranquille sous un arbre.

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Il ne nous sera pas possible de préciser la nature de sa blessure qui semble assez sérieuse mais nous irons en parler au responsable du Lion’s Project et lui montrer les photos, ce qui les incitera à envoyer une mission de reconnaissance spécifique dans les jours suivants.
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La blessure sera reconnue comme « naturelle » et la décision est donc prise de ne pas intervenir.

Après le passage des éléphants, les buffles peuvent revenir tranquillement.
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Le soir commence à s’annoncer et, même si nous sommes autorisés à rouler de nuit, il est temps de quitter ce lieu magnifique.
Un dernier coup d’œil à un beau serpentaire à contre-jour.
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Comme bien souvent en Afrique, le coucher de soleil est grandiose, celui-ci ne fera pas exception.
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Une dernière activité avant de rentrer consiste à changer un pneu qui n’a rendu l’âme et qu’il faudra amener demain à Main Camp pour réparation.
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« Répondre #19 le: 15 Février 2010 à 14:42:00 »

Je suis ce carnet avec un grand plaisir. Le texte est très intéressant et les images très réussies. J'attends la suite avec impatience!
Vincent
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« Répondre #20 le: 15 Février 2010 à 15:38:34 »

Je serais intéressé de connaître la situation des espèces dans le parc après plusieurs années de trouble. Apparemment il y a encore un bon nombre d'éléphants...

Jérôme
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« Répondre #21 le: 15 Février 2010 à 17:27:59 »

Merci de vos commentaires !

Jérôme, la situation du côté des animaux est très contrastée à Hwange.

Il y a en ce moment sur place un très important programme effectué par le CIRAD pour la comptabilisation et le suivi écologique des animaux du parc qui devrait donner une meilleure vision globale. C'est, je crois, l'un des plus grands programmes actuels de suivi au niveau du nombre d'espèces.

La surpopulation d'éléphants est un vrai problème et un danger pour le parc. Cette surpopulation est en fait un peu liée à la période de "troubles" qu'a connue le pays puisque les programmes d'abattage sélectif ou de translocation d'éléphants ont été interrompus.
Aujourd'hui, un nouveau programme de "culling" ou abattage sélectif doit être mis en place mais cela nécessite des moyens dont le parc ne dispose pas.

Alors bien sur, il est très étrange de parler d'abattage d'éléphants ici alors que l'espèce est en danger dans de si nombreux pays. Mais il faut reconnaitre que la surpopulation pose d'énormes problèmes à la végétation du parc et que celle-ci est en train de changer petit à petit et de poser d'autres problèmes aux autres espèces.

Concernant les autres grands herbivores, en dehors de cette menace sur leur nourriture, la situation est excellente du côté des impalas, hippotragues, kudus, girafes, buffles, gnous et zèbres.
Le risque principal est bien entendu du côté des rhinocéros. Il ne reste plus ou très très peu de rhinos blancs et je parlerai plus loin des rhinos noirs dont le sort ne tient qu'à un fil.

Pour les carnivores, je vais faire quelques zooms sur le cas très probématique des lions et de lycaons un peu plus tard mais la situation semble devenir critique pour les léopards victimes eux aussi (comme les lions) de la "sur-chasse". Il est d'ailleurs fortement question de débuter un projet spécifique de sauvegarde des léopards très prochainement.

Les mangoustes ont quasiment disparues de certaines parties du parc alors qu'elles étaient précédemment très nombreuses.
Les guépards sont rarissimes mais cela semble ne pas être un phénomène récent.

En revanche, pas de problème noté du côté des ratels, hyènes brunes, civettes, genettes ou chacals que nous avons vus à plusieurs reprises.

Il faut également noter qu'un très grande partie du parc ne fait l'objet d'aucun suivi particulier (la partie frontalière avec le Botswana) et que l'on peut donc avoir de bonnes nouvelles de ce côté-là.

Pour les oiseaux, là aussi, la situation de certaines espèces comme le vautour de Ruppel par exemple pose de nombreuses questions mais la situation globale semble bonne. En revanche, les gens du parc sont là aussi inquiets de la déterrioration de leur habitat.
La saison des pluies attire toujours un très grand nombre d'oiseaux dans le parc mais un programme spécifique de comptage et identification vient d'être lancé par l'association DART (si cela peut intéresser certains de nos amis ornithologues  Clin d'oeil).
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« Répondre #22 le: 17 Février 2010 à 14:59:33 »

Le lendemain, nous allons à Main Camp pour faire réparer le pneu endommagé et aussi faire connaissance avec Brent qui est le responsable sur place du Lion’s Project.
Il a dû s’absenter pour la matinée et nous en profitons pour aller rendre une petite visite au Painted Dogs conservation project.

http://www.painteddog.org/

Cette organisation fait un travail remarquable sur la sauvegarde des lycaons très sérieusement menacés dans la région.
Le projet est installé sur la route qui mène de Dete à Main Camp et dispose d’un centre d’information, d’une infirmerie et d’une zone de réacclimatation.

En effet, un des objectifs principaux de ce projet est de recueillir les lycaons malades ou blessés (le plus souvent à cause des collets, parfois aussi suite à des accidents de la route), de les soigner et d’organiser leur retour progressif à la vie sauvage. Un des points culminants de leur action est, bien entendu, le moment où ils peuvent remettre en liberté dans le parc un animal soigné et en bonne santé.

L’autre objectif principal du parc est l’information, en particulier à destination des écoles du pays dont les élèves viennent gratuitement jusqu’au parc (le déplacement est financé par le projet).

Des explications leur sont alors données sur le mode de vie des lycaons, en insistant surtout sur l’aspect relation humains-lycaons (il n’y a, par exemple, aucun exemple connu d’attaque volontaire sur des humains). Le but étant de lever une réputation qui n’est guère favorable à ces animaux dans cette partie du monde. En éduquant les enfants, l’espoir est qu’ils puissent influencer leurs parents sur les dangers qui menacent cette espèce mais aussi qu’ils puissent agir plus tard en tant qu’adulte d’une manière plus raisonnée.

Bien entendu, les hommes ne sont pas les seuls dangers qui les menacent. Ils sont également très fortement concurrencés par d’autres prédateurs tels que les hyènes et les lions qui n’hésitent pas à suivre les meutes pour profiter des proies qu’elles arrivent à attraper. Les lycaons ont d’ailleurs tendance à commencer à dévorer leurs proies toujours vivantes pour pouvoir manger avant l’arrivée de leurs concurrents mais nécessité fait loi.

Une exposition est également organisée présentant des objets artisanaux réalisés à partir des innombrables fils de fer constituant les collets recueillis sur le terrain par les rangers ou les membres du projet. Ces sculptures sont réalisées par les villageois des alentours et leur vente leur procure une source de revenue qui, du moins on l’espère, les incite à éviter de continuer le braconnage.

Un autre grand danger actuel est la diffusion de virus portés initialement par les chiens domestiques tels que la rage par exemple.

Ce projet accueille également des éco-volontaires (mais sans partenariat avec Planète Urgence) et les détails sont donnés sur leur site web. Il faut reconnaître que ce n’est pas le travail qui manque là-bas !

La population de lycaons est volontairement non communiquée. Nous en verrons 3 en liberté un peu plus tard dans le trajet et il semble de toute façon que le nombre de meutes ne dépasse probablement pas la dizaine.

Les lycaons suivant sont dans plusieurs enclos où ils se ré acclimatent lentement à la vie sauvage.
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Jonathan
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« Répondre #23 le: 21 Février 2010 à 23:28:27 »

18 - jolie couleurs pour ces dames girafes
34 - Je découvre avec ta photo l'hippotrague noir que je ne connaissais pas du tout
36 - très jolie lumière pour ces deux zèbres près de la marre
41 - les jeux des jeunes sont toujours agréable à contempler J'aime
52 - top le coucher de soleil !

Sinon les informations données sont très intéressantes quoique pas toujours réjouissantes ...
Heureusement qu'il existe des gens pour essayer de faire améliorer les choses et des volontaires pour les aider à y parvenir Yes.
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Avancer c'est mourrir, reculer c'est mourrir aussi.
Il faudrait donc avancer pour bien mourrir.
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« Répondre #24 le: 24 Février 2010 à 17:01:53 »

Nous retrouvons ensuite Brent qui nous expose longuement les objectifs et le travail du Lion’s Project.
Une petite parenthèse s’impose donc.

Le Lion’s Research Project est mené et financé par l’Université d’Oxford. Une grande partie des analyses et recherches s’effectue donc en Angleterre. Brent est l’homme de terrain sur le parc de Hwange et c’est lui qui effectue les missions au jour le jour.

Un petit historique pour expliquer la raison du lancement de ce projet.
http://www.wildcru.org/research/research-detail/index.php?theme=&project_id=39

Dans les zones protégées périphériques du parc de Hwange, des permis de chasse sont vendus annuellement aux enchères. Les prix les plus prestigieux sont bien sûr les lions mâles que beaucoup de chasseurs veulent mettre à leur tableau de chasse. Les parcs reçoivent une partie du prix fixé. Au Zimbabwe, vu le peu de touristes qui dépensent leur devise, cette source de revenue par la chasse est très loin d’être négligeable même si on peut la trouver regrettable.
Au début des années 2000, pas moins de 50 à 60 trophées de lions mâles étaient ainsi proposés aux enchères chaque année.

La situation s’est révélée totalement critique à cette époque où les chasseurs se rabattaient de plus en plus sur de très jeunes mâles, faute de retrouver une population de mâles adultes digne de ce nom.
Un moratoire a alors été fixé en même temps qu’une étude (le fameux Lion’s Research Project) de la population.

L’objectif initial a été de « darter » les lions mâles pour leur fixer un collier émetteur et permettre ainsi un suivi écologique.
Il existe 3 types de colliers :
-   un collier n’émettant qu’un bip permanent (le modèle blanc sur la photo) pour lequel la mesure ne peut être prise qu’en approchant à quelques centaines de mètres (en fonction de la végétation) de l’animal et en notant la position.
-   Un collier contenant un petite mémoire intégrée qui stocke toutes les heures la position GPS du collier. Un rendez-vous mensuel permet de collecter ces informations historisées. A heure prédéfinie et pour un jour donné, le collier émet un signal spécial qui doit être « downloadé » grâce à un récepteur spécial (c’est le collier noir sur la photo).
-   Un collier satellite qui envoie directement les relevés GPS par satellite au centre des opérations à Oxford. Ce type de collier est bien entendu extrêmement onéreux et, même s’il réduit l’importance des missions terrains, la collecte d’information en quasi temps réel donne un volume d’information tout à fait remarquable.

Chaque collier a sa propre fréquence d’émission qui permet de distinguer chaque porteur.
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Toutes ces données sont ensuite chargées sur ordinateur et un logiciel dédié permet de suivre ainsi l’évolution des lions dans leur environnement.

Pour en revenir à notre point de départ, les conclusions de l’étude menée ont permis aux scientifiques de conseiller de n’accorder qu’un seul trophée annuel (par rapport aux 50-60 proposées jusqu’alors). La population recensée en 2004 n’était plus que de 10 lions mâles (formant au total 7 coalitions).

Le gouvernement en a finalement autorisé 2 mais on imagine la catastrophe sans cette étude et ce moratoire.

Le Lion’s Research Project émet tous les ans ses recommandations sur le sujet, basées ses constats et relevés mais sa situation est toujours précaire. Elle dépend entièrement du bon vouloir des autorités nationales qui peuvent, à tout moment, stopper le projet (c’est déjà arrivé dans le passé).
La communication des données récoltées est donc très politique et si je peux vous indiquer qu’une amélioration de la population de lions a été effectivement constatée depuis 2004, la situation globale est loin d’être encore revenue à un équilibre.

Un des apports intéressants des volontaires est la capacité de permettre l’identification d’individus grâce à ce genre de clichés.
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L’identification des lions s’effectue en effet en fonction de leurs moustaches et des points noirs que l’on voit ici (bien entendu, cela ne concerne que les lions qui ne sont pas équipés de colliers).

Du côté des récepteurs, nous utiliserons ce type d’antenne râteau permettant de repérer dans l’espace la direction à suivre pour se rapprocher de l’émetteur.

Le récepteur que manipule ici Brent permet de sélectionner une fréquence particulière et on doit ensuite se fier uniquement à nos oreilles pour repérer les petits « bips » significatifs dont la force permet de déterminer la direction à suivre.
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Dans les 3 jours qui vont suivre, nous allons tenter de repérer un lion mâle « Goose ». La batterie de son collier a en effet rendu l’âme depuis plusieurs semaines et il est important de le retrouver pour lui mettre un nouveau collier.

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« Répondre #25 le: 24 Février 2010 à 17:19:48 »

Superbes photos Sourire Sourire
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« Répondre #26 le: 24 Février 2010 à 17:50:30 »

Très intéressant le projet.
Merci de partager ton expérience avec de belles photos. Sourire

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« Répondre #27 le: 24 Février 2010 à 17:56:34 »

très intéressant effectivement... merci pour toutes ces précieuses informations
cela me rappelle que nous avions croisé dans le Hwange un véhicule avec des gens qui tenaient les antennes pour chercher les colliers émetteurs  Sourire
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« Répondre #28 le: 24 Février 2010 à 19:16:47 »

Merci pour ce carnet très instructif.

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« Répondre #29 le: 25 Février 2010 à 18:32:30 »

Merci à tous pour vos commentaires.

Floflo, à l'heure actuelle, vu le très faible nombre de touristes (nous avons croisé une poignée de SudAf mais c'est tout), on voit essentiellement des véhicules de scientifiques dans le parc (en particulier ceux du CNRS) et des photographes professionnels.
C'est à des années-lumière du Pilanesberg le week-end  Grimaçant.
On peut passer des heures sans croiser personne dans ce parc mais ce qui est très spécial, c'est que pratiquement tout le monde se connait.

Pour les photos, c'était ma toute première sortie avec mon nouveau réflex numérique (Pentax K20D), alors il y a beaucoup de déchets. Je découvre aussi les post-traitements Photoshop en ce moment, beaucoup de nouveautés tout ça pour moi  Sourire
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