Un petit lien afin d'éviter trop de travail d'expédition à Franck
http://www.springerlink.com/content/l144626111435x67/fulltext.pdfCe qui est evidemment tres etonnant et va à l'encontre des theories sur le nombre minimal d'individus pour qu'une population puisse subsister..
Oui mais dans ce cas précis, la population en question n'était pas en allopatrie. Des preuves d'un apport génétique extérieur ont été trouvées chez plusieurs individus ; or on sait que la migration est une force créatrice de diversité génétique, qui s'oppose donc directement à la dérive génétique. On pouvait s'attendre à atteindre des fixations alléliques d'autant plus rapidement que la population restante était restreinte, mais du coup il suffisait (en théorie) d'un apport extérieur relativement faible pour contrecarrer ces tendances absorbantes. Visiblement ça a été suffisant pour maintenir une diversité génétique satisfaisante
Le faible nombre de générations (entre 1991 et 2001, voire entre 1991 et 1998) a également joué.