Colors Of WildLife

Me voilà de retour de mon voyage en Afrique du Sud qui m'a amené depuis le Cap jusque dans le Kgalagadi en passant par De Hoop, West Coast NP, Namaqualand et Augrabies. Les photos sont quasi triées, mais l'identification des photos de fleurs va encore prendre du temps.

Prêt pour le carnet de voyage?

1. et 2. jours, 11-12.08.2007
Le jour du départ est enfin arrivé (et les billets d'avions également). Je prends le train en fin de matinée pour l'aéroport de Genève. Tout semble bien se passer. Mon matériel photo dans le sac à dos (Lowepro Rover AWII avec 2 Pentax K10D, un 16-50/2.8, un Voigtlander 125/2.5 macro, un Tokina 80-400, un GPS, des accus de remplacement et des cartes mémoire) ne pose pas le moindre problème au contrôle de sécurité.

Le vol de Lufthansa pour Francfort quitte l'aéroport à la minute prêt et arrive même en avance à Francfort. Je traverse le terminal de l'aéroport de Francfort (sans le moindre contrôle de sécurité puisque je reste dans le même terminal) à la porte de sortie et je tombe déjà sur les autres participants du circuits.

Le vol direct de South African Airlines pour le Cap quitte Francfort à l'heure et on arrive peu après 4 heure du matin au Cap. Après les formalités d'immigrations, le propriétaire du Guesthouse nous attend et nous emmène au "La Roche Guesthouse". Petit guesthouse très tranquille un peu en dehors du centre du Cap. On y prend nos chambres et on a même le droit à un peu de repos. En fin de matinée, petit-déjeuner. La surprise pour le propriétaire semble être plus grande que pour nous: il fait grand beau (photo prise à env. 800m du Guesthouse)
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Notre guide vient nous rejoindre et on fait un petit programme de mis en route: jardin botanique de Kirstenbosch où les premières protéas sont en fleurs:
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Après le jardin botanique, visite de la montagne table, mais voilà, c'est dimanche, et le soleil n'a depuis longtemps pas autant brillé, il y a donc beaucoups de monde et des files d'attentes aussi bien pour la montée que pour redescendre, mais donc voilà la vue:

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Voilà pour le premier jours sur place. Merci d'avoir lu jusqu'ici.

Au prochain numéro, tour de la presqu'île du Cap.

J'y étais encore samedi dernier (au Cap, à Kirstenbosch et sur Table Mountain) ! C'est toujours sympa de croiser des expériences et je vais donc suivre ton carnet avec un vif intérêt !  ;)
Vivement la suite...  (Y)

3. jours, 13.08.2007: Tour de la presqu'île du Cap

Le beau temps de la veille est malheureusement déjà passé. Le but de la journée est le tour de la presqu'île du Cap. On passe d'abord par Houtbai:

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Non seulement le temps se couvre, mais le reste de la route depuis ce point de vue est coupé en raison des importantes pluies des derniers jours. Officiellement, on attend des responsables pour vérifier l'état de la route et surtout de la stabilité de ce qu'il y a au-dessus de la route. On rebrousse chemin, et on passe par un col sur l'autre côté. Le premier arrêt sera pour les manchots du cap à Simonstown:

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Ensuite, direction parc national du cap, avec Cap Point:
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Sur le retour, à notre grande surprise, 4 zèbres de montagne (Cape Mountain Zebra, Equus zebra zebra) dans la verdure, mais évidemment jamais groupé pour une seule et même photo:

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La traversée de la ville du Cap prend le soir à 17h plus de temps que prévu, la densité de la circulation a fortement augmentée et toutes les constructions pour la coupe du monde de foot n'arrange pas le trafic. On retourne au Guesthouse et espère un temps meilleur pour la suite du voyage.

Au prochain numéro: en route pour De Hoop avec excursions pour les baleines à Hermanus.

Cool! Me réjouit de lire ce nouveau carnet ;)

Bonsoir,

Le Cap et le Kgalagadi étant deux frustrations (donc deux destinations futures!), je souhaite la bienvenue à ce carnet de voyage, qui commence bien!
Amicalement,
Bastien N.

Ton carnet m'intéresse au plus haut point vu que ce je vais refaire une partie de ton trajet en décembre ....   8)
Merci de nous faire partager tout cela ! (Y)

Super, un nouveau carnet !

Bon départ et belles photos !

Il faut dire que COW est inégalable en frustration destinations futures ;D ;D ;D

Voilà un endroit qui m'interesse beaucoup également en vue d'un prochain voyage .

si je peux me permettre ça manque un peu de détail ... on aimerait (enfin moi) en savoir plus.

PS : photos tip top  (Y)

Je veux donc essayer de mettre plus de détails... (Pour encore plus de détails. j'ai encore les données GPS).

4. jours, 14.08.2007: Le Cap - De Hoop Nature Reserve

Le mauvais temps de la veille a malheureusement persisté durant la nuit et se poursuit ce matin. On quitte le matin à 9h le Guesthouse en direction de la réserve naturelle de De Hoop. On quitte la ville par l'Est pour Somerset West puis Gordons Bay où les premiers touristes sont arrêtés au bord de la route et scrute la mer avec jumelles et appareils photos: les premières baleines!

On s'arrête un moment, mais pas trops, premièrement il pleut des cordes et le bâteau pour les baleines quittant Hermanus à 12h ne nous attend pas. On reprend la route en longeant la côte jusqu'à Hermanus où on arrive à 11h58, juste à temps. Heureusement la pluie a cessée.

Contrairement à l'Islande où chacun est censé prendre lui-même ce qu'il a besoin pour une sortie sur la mer, à Hermanus, chacun touche un pantalon contre le vent, un anorak et un gillet de sauvetage. Une fois tout cela enfilé et la bonne position, on grimpe à bord de l'embarcation. Les premières 45 minutes sur le bateau ne sont pas exceptionnel, le bateau fonce le plus rapidement possible dans une des baies voisines où on s'attend à voir des baleines, à bord on cherche des places à l'abri de l'humidité et du vent. Après 45 minutes, la première baleine:

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On passe 45 minutes à silloner la région. On aperçoit en tout 3 baleines, mais le vent et la météo pas très favorable fait qu'elles ne se montrent pas beaucoups. On a rarement vu plus que:

Mais à la fin, on a quand même eu droit à:

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Finalement, le bateau rejoint le port à Hermanus. La sortie aura duré un peu plus de 2 heures. Après cela, le guide nous amène à Hermanus même et nous laisse du temps libre:

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La plage est remplie des Daman des rochers, que je n'avais d'ailleur pas vus au Cap cette année:

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il reste tout de même un bon bout de route jusqu'à De Hoop. On reprend la route, d'abord encore des routes goudronnées, plus loin des pistes (en bonne état) et on arrive à la tombée de la nuit à notre logement dans la réserve naturelle de De Hoop. Le logement est simple, propre, mais également passablement humide:

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Comme il n'y a aucune possibilité de se restaurer, notre chauffeur et guide prend maintenant la casquette de cuisinier.

Au prochain numéro: une journée dans le De Hoop.

Ton récit réveille de très bons souvenirs ;) Belles photos.
C'est vrai que les chalets de la De Hoop sont souvent à cette saison humides et froids surtout quand on s'aperçoit juste quand on va se coucher
qu'il n'y a pas de couvertures draps et oreillers dans les lits ;D ;D ;D

5. jours, 15.08.2007: Une journée complète dans la réserve naturelle de De Hoop

La réserve naturelle de De Hoop est une des réserves naturelles où il est autorisé de s'y déplacer à pied. En d'autres termes, il n'y a pas de prédateurs, autres que les autruches...

Après le petit-déjeuner, donc tout d'abord une promenade de 12km le long du lac pour se remettre en forme. On aperçoit une multitude de petits oiseaux ainsi qu'une assez grande colonnie de pélican sur un banc de sable au milieu du lac:

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Sur le chemin du retour, un Bontebok et des dunes de sables en arrière fond. C'est plus facile de s'approcher de la bête en voiture, mais à pied, avec de la patience et un téléobjectif de 400mm, on y arrive aussi:

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Plus loin, derrière un buisson, un bruit étrange, mais on ne voit pas d'antilope ou autre, mais le bruit continue. Le guide nous demande de contourner le buisson à une bonne distance et d'être prêt à courir si le besoin devait se faire sentir. C'est Monsieur Autruche derrière le buisson qui a la garde de ses petits et qui tolère que très moyennement notre présence. Inutile de préciser, on ne s'y est pas attardé.

De retour aux chalets, on a pris le véhicule pour la direction de la mer. En route, on aperçoit un troupeau d'Eland du Cap d'environ 120 bêtes! Malheureusement, ils n'avaient aucune envie d'une photo de groupe.

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Arrivé en bord de mers, les botanistes (2) du groupe profitent des fleurs (faut pas me demander ce que c'est):

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D'autres (2) tentent de photographier les baleines sautant hors de l'eau, mais pour ça, mon 400mm ne suffit pas, alors je me contente de la vue:

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On prend le picnic et on retourne aux chalets. Je m'y promène à nouveau à pied et j'arrive à m'approcher de quelques Elands du Cap:

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En soirée, on reprend notre véhicule pour aller explorer une partie du parc où des Protéas sont déjà en fleurs:

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Retour au logement, le guide change sa casquette de guide et chauffeur contre la casquette de cuisinier et une bien belle journée touche à sa fin.

Le prochain numéro ne sera pas très passionnant, c'est une journée de déplacement depuis De Hoop jusqu'à Langebaan, au bord du West Coast National Parc.

Superbes photos  (Y) ça fait envie ..

Belles photos et belle lumière (Y) (Y) (Y) (Y)

Waouhh, les photos sont magnifique !!!  (Y) (L) (Y)

6. jours, 16.08.2007: De Hoop à Langebaan (à proximité du West Coast NP)

On a eu droit à la pluie toute la nuit, là, elle ne dérange pas, mais le matin, il pleuvait encore, et là cela devient vraiment désagréable. Rien contre un peu de pluie, mais je ne vais pas en Afrique pour avoir autant de pluie...

Ce circuit a un rythme assez agréable. Généralement, un jours de route pour aller d'un point à un autre, puis un jours à visiter ce qu'il y a sur place. Du coups, on ne change pas d'hôtel chaque nuit. Ce rythme est pas mal du tout, mais comme la veille était la journée De Hoop, ce 16.08 est un jours de déplacement.

On quitte vers 9h nos chalets dans le De Hoop, sous une pluie battante. Le véhicule s'engage sur ces pistes boueuses, à certains moments, cela ressemble plus à de la glisse. On prend les petites routes en direction du nord, en rejoignant la N2 près de Swellendam, la glisse sur boue est terminée, du coups la pluie s'arrête également. On reste sur la N2 jusqu'à Stormsvlei où on prend la R317 et on s'arrête pour une dégustation de vin au "Van Loveren Wine Estate". La dégustation ne décoiffe pas vraiment, mais bon, déguster du vin à 10h du matin... Finalement on se décide pour quelques bouteilles à prendre avec nous pour les soirées dans le Kgalagadi, c'était le seul vin qu'ils n'avaient plus...

On reprend la route (le guide n'avait rien bu) par Robertson puis R60 jusqu'à Worcester. Arrêt au supermarché du coin pour un picnic et nous voilà reparti sur la N1 pour Paarl, mais on emprunte le col sur le Limietberg plutôt que le tunnel:

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Je ne peux plus rien caché, non seulement la pluie s'est arrêtée, mais le soleil fait même son apparition. A Paarl, on emprunte la R45 pour Malmesbury, puis R315 pour Darling où on s'arrête une première fois un peu avant Darling à "Oude Post Wild Flower Reserve", il y a des fleurs partout, la pluie a aussi ses bons côtés:

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On continue pour s'arrêter peu après Darling, presque sur la R27 pour un autre arrêt fleurs, les appareils photos commencent à chauffer:

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On continue et on prend la R27 jusqu'à Langebaan à notre Guesthouse "Friday Island" directement au bord de la mer:
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Voilà, au prochain épisode, une journée dans le West Coast NP et en particulier le Postberg.

Ben quoi ?!.. déguster du vin à 10h00 du mat je vois pas où est le problème  ;D  ;D  ;D

Superbe!
Les photos sont magnifiques.
On avait fait un peu le même voyage en février 2000 en camping car avec les enfants (avec en plus le Karoo).
On n'avait pas eu de pluie mais pas non plus toutes ces belles fleurs!
Vivement la suite.
Je me régale d'avance des photos des Augrabies Falls avec certainement de beaux ciels d'orage!
Marie

Merci. Mais désolé pour les ciels d'orage à Augrabies. Aucune pluie à cette époque de l'année à Augrabies, Karoo ou Kgalagadi, c'est absolument sec.

Superbe ! J'attends la suite, qui va dans des régions où je ne suis pas allé, avec impatience !  (Y)

Superbe les fleurs, la rose flashie (Y) (Y), Bon après le carnet de voyage tu sais se que tu as à faire ;) ouvrir plein de fils sur les fleurs pour identification ::)

Oui, oui, l'îdentification des fleurs manque, et j'en ajoute encore avec ce message, et ce ne sera pas les dernières de ce carnet. Mais je pense bien que quelques fils d'identification sur ce forum seront nécessaire, mais d'abord, le carnet. Il faut encore garder des sujets pour plus tard.

7. jours, 17.08.2007: Une journée dans le West Coast National Parc

Après la journée de déplacement de la veille, une journée dans le West Coast NP. On quitte l'hôtel le matin à 9h. Cela ne sert à rien de partir plus tôt, le West Coast NP est, à cette époque de l'année surtout connu pour ses fleurs, et ses fleurs n'ouvrent pas avant 10h - 10h30, en fonction de la météo.

On se rend tout d'abord au supermarché de Langebaan pour acheter le picnic. Coups de chance, le supermarcher vend également des cartes postales, pour les timbres, la poste est à proximité. Mais, moins de chance, on entre dans le supermarché et c'est tout à coups le noir quasi total: coupure de courant! Je peux vous dire que ce n'est pas évident de choisir des cartes postales dans le noir! Aux caisses, les employés sortent les machines à calculer pour faire la somme et on se débrouille comme on peut.

Après cela, direction le parc et un premier arrêt photo:

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Ce n'est pas encore très spectaculaire, mais il n'est que 9h40, les fleurs sont encore fermées, mais la météo s'annonce bien, pas un nuage. Est-ce que la pluie serait derrière?

On reprend la route pour un bout et on s'arrête dans les fleurs, vers 10h30:

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Les appareils photos chauffent, mais le guide nous presse un peu, il veut continuer pour la région du Postberg  avant que la foule arrive. La région du Postberg est une région du West Coast NP ouverte uniquement pendant la floraison, en août et septembre, par contre il n'est plus autorisé, mis à part quelques rares endroits, de quitter le véhicule.

On arrive donc dans cette région, soleil de face. On regarde un peu autour de nous et on est un peu étonné. Les champs sont verts, comment est-ce possible qu'il y avait autant de fleurs avant, et maintenant plus aucune? On en fait part au guide, celui-ci s'arrête et nous demande de regarder en arrière:

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Les fleurs se sont simplement tournées dans la direction du soleil.

On aperçoit dans le parc des zèbres de montagne, des springbok, des bontebok, des oryx et même des autruches, mais tout est malheureusement trops loin, même pour un 400mm, donc je prends les paysages

Mouette de Hartlaub devant un champs de fleurs:
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On s'arrête dans une aire de picnic et les appareils photos continuent de chauffer sur les fleurs:

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Après toutes ces fleurs, on reprend le chemin du retour, par le même chemin. On a encore eu droit à un springbok dans les fleurs:

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Et même à des flamands roses:
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On retourne donc finalement à l'hôtel, et j'en profite pour écrire mes cartes postales, Langebaan devant être une des dernières occasions pour les envoyer, avant Johannesburg le dernier jours.

C'était une journée très colorées. Je m'attendais bien à des fleurs sur ce circuit, mais jamais dans ces quantités. Les personnes auxquelles je montre mes photos ont un peu de peine à croire que ces photos proviennent d'Afrique. Cela ne correspond pas, mais alors pas du tout à l'image que les gens se font de l'Afrique.

Au prochain numéro, jours de déplacement de Langebaan jusqu'à Nieuwoudville.

Hello!!!!!!

Absolument magnifique, que de couleurs, et les baleines (Y) (Y) (Y)

On en redemande!

merci

fred

 :o :o Hallucinant, quel est le jardinier fou qui a semé ces merveilles? Moi ça ne m'étonne pas de l'Afrique, elle ne nous a pas révélée tout ses secrets c'est tout.

8. jours, 18.08.2007: De Langebaan au Namaqualand

Pour ne pas changer les habitudes, on quitte l'hôtel à 9h. Tout d'abord, on passe à la poste pour envoyer toutes les cartes postales du groupe. Ensuite, route R27 vers le nord d'abord jusqu'à Velddrif où on fait le plein, aussi bien nos subsistances que pour le véhicule. On reprend la route en longeant le bord de mer jusqu'à Elandsbay.

A Elandsbay, on fait tout d'abord un arrêt à un endroit avec des peintures rupestres, mais si comme moi, vous avez déjà vu celle de Twyvelfontein en Namibie, ces peintures-ci n'ont rien d'exceptionnelles. On continue jusque au bord de la mer à Elandsbay pour notre picnic. Voilà quelques photos de Elandsbay:

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Ici aussi, les fleurs ne manquent pas:

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Après cette pause, on continue en direction du nord. On voulait prendre la route le long de la mer jusqu'à Lamberts Bay, malheureusement, les importantes pluies ont rendues cette route impraticable. On prend donc une petite route dans l'arrière pays jusqu'à atteindre la R365 qui nous amène à Lamberts Bay, mais en très mauvaise état. En chemin, une courte pause photo:

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Finalement, on arrive bien secoué à Lamberts Bay. Le dernier bout n'est plus que de la tôle ondulée, très pénibles. L'arrivée à Lamberts Bay n'est pas des plus agréable non plus. Les odeurs de la colonnie de Fou du Cap se mélangent aux odeurs de la fabrique à huile de poisson, c'est parfait! Certains touristes n'y ont pas l'air bien...

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La route jusqu'à Nieuwoudville est encore longue. On reprend donc notre chemin, R364 par Clanwilliam à travers les Cederbergs. C'est magnifique. Malheureusement, le guide voulant encore arriver de jours à Nieuwoudville, les arrêts photos sont très limités.

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Une fois les Cederberg passé, on se trouve déjà dans la grande Karoo, région semi-désertique. La végétation a complétement changé.

Doringbos:
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A la tombée de la nuit, on arrive enfin à Nieuwoudville dans le Namaqualand, au De Lande Guesthouse, joli guesthouse avec une excellente cuisine.

Dans le prochain numéro: une journée dans le Namaqualand.

Super magnifique, un vrai régal.
Cette explosion de couleur existe-t-elle déjà en juillet (tu me donnes envie d'y retourner!)?
Marie

Merci

Je crois que le mois de juillet est trops tôt. Le déroulement normal veut beaucoups de pluie en juillet, à ce moment, les fleurs attendent le retour de températures un peu meilleurs, et c'est l'explosion courant août pour environ 6 semaines, ensuite, le soleil s'occupe de tout bruler.

Merci dric. Personnellement je pense que j'aurais pu faire mieux en photos. Je ne m'attendais pas à une telle quantité de fleurs, et je ne savais pas trop comment m'attaquer à la situation.

9. jours, 19.08.2007: Namaqualand

Une journée complète au Namaqualand, aux alentours de Nieuwoudtville.

On est pas aller très loin ce jours. Il n'y a donc pas grand chose à raconter, mis à part les champs de fleurs sauvages à perte de vue et les photos remplaçant mille mots, cette entrée dans le carnet de voyage comporte beaucoups de photos, et que peu de texte.

Je profite des premiers rayons de soleil du matin pour une première photo devant le Guesthouse:

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Après cela, petit-déjeuner et départ à 9h pour ne pas changer les habitudes, les fleurs n'ouvrant pas avant 10h. Un premier arrêt à la station service de Nieuwoudtville laisse espérer une belle journée avec beaucoups de fleurs et de soleil:

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On prend d'abord la route R375 jusqu'à la forêt de Kookerboom (Quiver Tree Forest). Ce n'est pas vraiment ce qu'on appelle une forêt chez nous, mais c'est tout de même pas mal:

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Et on y trouve même déjà des fleurs:

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On ne reste pas trops longtemps, les premiers cars d'excursion du Cape arrivent. On continue, mais les fleurs devenant de plus en plus nombreuses, les arrêts se multiplient. Sans guide je me serais certainement arrêté tout les 10 mètres... Voilà quelques photos de ces différents arrêts:

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On a beaucoups de peine à quitter ces fleurs, mais le guide connait un autre endroit, avec des variétés différentes. On retourne donc à Nieuwoudtville et on prend vers le sud pour aller au "Matjiesfontein Flower", à proximité de notre Guesthouse:

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Bulbinella nutans:
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On retourne finalement en fin de journée au Guesthouse après une journée avec des fleurs et des couleurs plein la vue.

Au prochain numéro, plus aucunes fleurs. On quitte le Namaqualand pour Augrabies, probablement la plus longue étape du circuit, à travers la grande Karoo, sans voir grand chose d'intéressant.

Quelle profusion, c'est absolument incroyable (L) (L) (L) (L)

Oui, on avait de la peine à le croire aussi, tant de fleurs, tant de couleurs, en Afrique. C'était malheureusement le dernier jours fleuri...

10. jours, 20.08.2007: Namaqualand - Augrabies

Aujourd'hui sera le plus long trajet du circuit. On traverse une partie de la grande Karoo, depuis Nieuwoudtville jusqu'à Augrabies, soit 520km, heureusement goudronnée pour la majorité...

Comme la route sera longue, on part un peu plus tôt, on quitte le guesthouse à 8h30 en direction de Nieuwoudtville. Là, on prend la R27 pour Calvinia, Brandvlei. Quel contraste par rapport à la veille, plus aucune fleur, la nature si abondante et pleine de couleurs, il n'en reste rien. On continue sur la R27 jusqu'à Kenhard où on achète le picnic pour la journée ainsi que le plein pour le véhicule. On continue encore 6km sur la R27 après Kenhard et on bifurque sur la M14, la belle route goudronnée est derrière nous. Le paysage change, aux buissons secs s'ajoute maintenant les acacias. Le paysage commence à ressembler à ce qu'on peut trouver en Namibie vers le Fish River Canyon.

On s'arrête pour un picnic. Les agréables 20° les jours précédents sont, comme la pluie, derrière nous. On atteint désormais les 30° et on commence à chercher l'ombre.

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On continue la M14 jusqu'à Kakamas. On est à nouveau dans des zones habitées avec l'agriculture. On y cultive surtout les raisins secs ainsi que quelques fruits. On y commencerait également la culture du vin. On continue N14 puis R359 et on arrive finalement vers 16h30 à l'entrée du parc de Augrabies. Après les formalités d'entrées, on prend nos chambres et le guide nous donne une heure pour visiter les chutes:

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Après les chutes, on va faire un Game Drive pour terminer la journée en beauté. On y aperçoit quelques Springbok, et au loin (vraiment très loin), un Steenbok avec oiseau sur le dos:

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On s'arrête encore pour le coucher du soleil:

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Et on fonce à tombeau ouvert pour être de retour à temps, avant la fermeture du gate du campement, et on est arrivé juste à temps, le garde était sur le point de fermer la gate.

Jusque là, on avait en général un jours de déplacement et un jour sur place, mais pas là, on est resté qu'une nuit et le lendemain, on a repris la route jusqu'au Kagalagadi.

Merci d'avoir lu jusque là.

Au prochain numéro, de Augrabies jusqu'au Kgalagadi Transfrontier Parc.

Vraiment super toutes ces fleurs !!! (Y) (L)

Manu

Oui, vraiment de beaux tapis fleuris ! 
Sympa aussi ce Steenbok avec son oiseau. 

Les photos des tapis de fleurs sont.... (L)

J'en avais entendu parlé, enfin je vois! Superbe! Merci!

Le Conseil Régional d'Asace  finance la plantation de champs de fleurs sur les parcelles mises  en jachère  à la demande de l'UE, c'est très chouette, mais pas autant que ça....(il est vrai que c'est aussi fait pour que les gens viennent en cueillir, ça explique un peu).

Merci.

Les autorités dans le Namaqualand ont remarqué que de nombreux visiteurs venaient pour ces fleurs sauvages. Elles tentent de convaincre les agriculteurs de ne pas laisser aller les bêtes sur ces champs pendant 2 mois par année pour maintenir cette biodiversité.

11. jours, 21.08.2007: Augrabies - Twee Rivieren (Kgalagadi)

Le grand jours est arrivé, si tout se passe comme prévu, je vais enfin voir le Kgalagadi.

Après le petit-déjeuner, on prépare nos affaires. Pendant ce temps, les oiseaux s'occupent de tout nettoyer:
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Le guide veut nous habituer à nous lever plus tôt en vue du Kgalagadi, le départ aujourd'hui est donc à 8h. On quitte Augrabies sur la R359 jusqu'à Kakamas, puis, N14 par Keimoes jusqu'à Upington où on tombe sur notre premier feu rouge depuis bien des jours. Comme on sera 5 jours dans le Kgalagadi, on fait une pause de 1h au super marché, le guide doit acheter les provisions.

C'est fou ce qu'on trouve dans les super marchés en Afrique du Sud. Ici, pas questions de trouver un seul médicament en dehors d'une pharmacie, mais en Afrique du Sud, les médicaments sont au super marchés, même du paracetamol en dose de cheval (800mg).

Ce qui m'a également étonné, jusque là, en Afrique du Sud, j'arrivais bien à me débrouiller en anglais. A Upington, l'anglais semble être moins parlé que dans le reste de ce que j'ai vu en Afrique du Sud, ici, il faudrait l'Afrikaans.

A voir les magasins à Upington, on remarque assez vite qu'on est loin des itinéraires touristiques, pas un seul magasin de souvenir.

On fait encore un saut à la station service pour faire le plein. Le guide dit au pompiste de faire le plein au maximum possible, on va dans le Kgalagadi. Le pompiste nous regarde d'un air étonné et secoue la tête dans le style "mais comment peut-on vouloir aller dans un endroit pareil". Nous voilà fixé pour la suite du voyage.

On reprend finalement la route R360 en direction du nord. Le guide nous rassure, la route d'accès pour le Kgalagadi est en train d'être refaite, mis à part quelques petits km avant l'entrée, c'est goudronné. Le paysage change lentement, la végétation devient plus rare, de longues dunes de sable commencent à se former, le sable tourne lentement vers le rouge. On suit la R360 jusqu'à Askham, puis la R31, toujours goudronnée, jusqu'à Molopo. Là, on prend la route en direction du Kgalagadi, toujours goudronnée, on fait même quelques km sur la nouvelle route, puis un écriteaux nous informe de la construction d'une nouvelle route d'accès pour le parc, la durée des travaux est prévue jusqu'en 2009, la route goudronnée est finie. On fait donc les derniers 45km jusqu'à l'entrée sur de la tôle ondulée. Cette route doit être de loin la plus mauvaise route de tout le circuit.

Mais on arrive finalement à Twee Rivieren. On prend nos logements et le guide change sa casquette de chauffeur/guide pour celle de cuisinier et nous fait le repas de midi. Les chambres du campement de Twee Rivieren sont grandes et propres, pas mal du tout.

Le comité d'accueil est déjà présent:

Calao à bec jaune:
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Ecureuil:
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Après le repas, on prend d'abord une pause, il fait presque 38°, avant de faire un premier Game Drive dans le Kgalagadi vers 16h. On longe le lit asséché de la rivière, le long de la frontière avec le Botswana jusqu'au Rooiputs Waterhole. Cette première sortie est déjà très abondantes en observations, certains animaux assez proches pour une photo, d'autres malheureusement trops loin.

Oryx:
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Gnou:
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A part cela, on aperçoit également des autruches, Elands, mangouste jaune et quelques chacals. Comme le soir passé, on reste dehors le plus longtemps possible à observer les animaux pour ensuite retourner à vive allures au campement avant la fermeture de la gate. Réussi!

Au prochain numéro: Twee Rivieren - Nossob

Superbes les rufipenes morio  (Y)  (Y)
les autres photos aussi d'ailleurs  ;)
j'ai hâte de lire et voir la suite  :)

Oh que c'est beau ! Je viens de tout admirer d'une seule traite ! Je n'ai jamais vu autant de fleurs, et toutes plus belles les unes que les autres ! C'est un vrai feu d'artifice ! MERCI ! (L) (L) (L)

Et bravo pour toutes tes superbes photos : les fleurs, les fous du Cap, les paysages, les baleines ! Un régal !  (L) (L) (L)

Je ne suis encore jamais allée en AFS mais après ce que je viens d'en voir, quelle tentation !!!

 :D (Y) Le grignotage de queue d'écureuil est top ;D ;D ;D

12. jours, 22.08.2007: Twee Rivieren - Nossob

Cette fois, on se lève tôt et on quitte le campement peu après le lever du soleil, lorsque la gate ouvre, à 7h. Le trajet nous mène ce matin de Twee Rivieren à Nossob, le long du lit de la rivière sèche, tantôt du côté de l'Afrique du Sud, tantôt du côté du Botswana. Sur le trajet on croise les classiques Oryx, Gnou, Springbok, Eland et autruche.

On s'arrête au premier trou d'eau, le Rooiputs Water hole. Notre première hyène brune:

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Avec tous ces animaux, je dois faire attention de ne pas faire que des photos des animaux, et ne pas oublier quelques paysages pour placer un peu le cadre:

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On continue un peu jusqu'à ce qu'une occupante du véhicule aperçoit une lionne au loin sur une dune de sable:

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Un peu plus loin sur la dune, 4 lionnes au soleil, mais c'est tout même loin, même au 400mm. Au pied de la dune, le lion est paisiblement à l'ombre. Un chacal est passé derrière notre voiture et se dirige lentement mais sûrement en direction de la dune (avec maintenant les 5 lionnes, et le lion au pied de la dune). Il se rapproche de plus en plus et on se dit qu'il ne va quand même pas oser passer aussi près des lions. Le chacal fini tout de même par voir son comité d'accueil, il s'arrête. Il semblerait qu'il veut absolument passer, mais les lions le dérangent tout de même. Il se gratte, observe la situation et après avoir analysé la situation, continue son chemin, non pas en direction de la dune, mais de l'arbre sous lequel attend le lion. Les 5 lionnes observent chaque mouvement du chacal et bientôt, le lion sous l'arbre le suit également du regard. Maintenant, le chacal aperçoit également le lion. Il s'arrête, se gratte, observe, se gratte, observe, se gratte et finit par continuer sa route comme si de rien n'était:

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Le chacal n'est vraiment pas passé loin du lion, qui visiblement n'était pas le seul étonné.

On continue notre chemin et un peu plus tard, un chat sauvage africain:

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Après toutes ces observations, une pause était bien méritée à un des endroits prévu à cette effet:

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Après la pause, on reprend la route.

Oryx et Eland
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On arrive vers 13h à Nossob où on prend nos chambres. Il fait à nouveau 36°. Le guide nous prépare le repas de midi. On restera au campement jusqu'à 16h30 avant de sortir pour un nouveau Game Drive. Le guide utilise se temps pour inspecter le véhicule. Il faut dire qu'avec ces routes en tôle ondulée, le matériel est mis à rude épreuve. D'ailleurs, il remarque que quelques vis manque et va trouver le mécano du campement pour lui demander des vis de rechanges.

Nossob a également un trou d'eau (en fait 2, un pour les touristes sous forme de piscine et un autre pour les animaux). Je passe au trou d'eau (pour les animaux) une bonne partie de l'après-midi, mais sous la chaleur, il n'y a guère que des springboks, des gnous et env. 15 chacals.

Springbok
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On repart donc en soirée, on emprunte la route jusqu'au Kasperdraai waterhole. Mis à part 8 chacals et les Elands, on ne voit pas grand chose. On continue donc encore une partie de la route au-delà du Kasperdraai et qui se trouve au milieu de la route? Une lionne:

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Mais, il commence à se faire tard:
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Comme la gate du campement se ferme peu après le coucher du soleil, on retourne, comme d'habitude, à pleine vitesse. Et comme d'habitude, on arrive à la dernière seconde.

Pendant que le guide prépare notre repas du soir, un braai, on entend un monstrueux bruit venant de la direction du trou d'eau (pour les animaux). Notre groupe se précipite au trou d'eau, mais personne d'autre du campement ne nous suit. On arrive au trou d'eau, il y a env. 25 chacals tentent avec leurs cris de faire fuir un animal. Les 25 chacals entourent à une distance de 3m un léopard! Evidemment, le léopard se montre quand je n'ai pas mon appareil photo  >:D ! Je me console en me disant qu'il fait de toute façon déjà trop sombre pour une photo avec un 400mm.

Le léopard ne se laisse pas déranger par le bruit, il se dirige vers l'eau, le cercles de 25 chacals l'accompagne. Il n'y a toujours personne d'autre pour venir voir. Le léopard s'installe au trou d'eau et y boit pendant 10 minutes, les chacals crient toujours. Il n'y a toujours aucune autre personne du campement pour venir voir. Après cela, le léopard repart lentement, toujours accompagné par les chacals en cercle. Une fois le léopard suffisamment loin, les chacals se calment et reviennent.

Là, je suis vraiment étonné. Les gens viennent au Kgalagadi pour voir les animaux sauvages, roulent toute la journée pour les voir, et le soir lorsqu'ils sont avertis par le bruit, il n'y a personne, absolument personne qui vient regarder ce qu'il se passe.

On rejoint le campement. Quelques personnes viennent vers nous pour nous demander ce qu'était ce bruit, ils n'en revenaient pas, ils font un si long voyage et manque un léopard à côté du campement...

Au prochain numéro, une journée depuis Nossob.

Merci d'avoir lu jusque là.

Il a quand même l'air sympa ce parc
au trou d'eau vous êtes en sécurité ou en pleine nature ?

Lions, léopard, hyène brune, chacals en grand nombre... quelle chance d'avoir pu voir tout ça !  (Y)

C'est un petit point d'eau. Depuis le campement, un passage protégé mène jusqu'à une cabane, style observatoire pour les oiseaux, une ouverture permet de voir les animaux, le point de vue est donc en sécurité.

Mais le Kgalagadi dispose de passablement de trous d'eau à proximité du campement, les animaux ne doivent donc pas nécessairement venir à proximité des touristes.

Si on a déjà vu les trous d'eau des campements dans l'Etosha, il y a de quoi être deçu par ceux du Kgalagadi.

Oui, on a eu beaucoup de chances, surtout pour la hyène brune. En raison des pluies abondantes lors de la dernière saison des pluies, les chacals ont la vie facile et il y en a vraiment beaucoup.

Superbes photos de feux d'artifices de fleurs (L)

belles rencontres avec les hyenes brunes et le léopard.

Encore merci pour ce nouveau partage ! Tu as vraiment eu une chance incroyable de vivre tous ces moments magiques. Tes photos sont merveilleuses ! (L) (L) (L)

Je trouve très bien ton idée de mettre AUSSI des photos du paysage du Kgalagadi, en plus des animaux (le chat sauvage  (L) et la lionne  (L)). Ca donne une idée du cadre dans lequel je me retrouverai très bientôt  :P

Merci pour tous vos commentaires.

Il est vrai que j'ai pu voir énormément d'animaux dans le Kgalagadi. On avait dans le groupe une personne, elle ne voyait pas bien $ proximité, mais alors de loin, elle voyait beaucoups mieux à l'oeil nu que nous avec nos jumelles.

C'était même déconcertant, une personne aperçoit des animaux au loin depuis la voiture en mouvement et tente d'expliquer aux autres, une fois à l'arrêt, où il faut regarder, et parfois, même avec des jumelles, on a eu besoin de passablement de temps pour voir l'animal... Elle a eu droit à un grand merci de la part du groupe.

Allez vivement la suite, la lionne avait l'air de passer un agréable moment à la plage ;)

:( Moi ça ne m'étonne pas, j'en ai même vu qui roupillait dans le 4X4 au coeur du Ngorongoro (N)

Voir une telle scène au point d'eau c'est du bol! il en faut, alors bien joué!

Ce point d'eau est le plus sympa du parc, concernant le manque de réaction des touristes, il est vrai qu'ayant passé qq nuits à Nossob, si j'avais entendu hurler les chacals, j'aurais d'abord couru voir si mon steak était toujours là!
dans le genre rusé renard voleur et tout, ceux de Nossob sont les pires! Ils ont creusé des terriers tout autour du camp et dès la nuit tombée ils déboulent en groupe pour piller les touristes! S... bêtes! ;D

Je me rappelle encore un touriste dépouillé de son dîner qui hurlait à l'encontre des autres touristes qu'il soupçonnait d'avoir attiré les chacals " Don't feed the foxes!" ;D ;D ;D

ceci dit j'ai du lutté pour faire mon braï tous les soir, y compris ceux  en compagnie de Vincent "Lered" et Elisabeth et  ils se sont vengés en faisant les poubelles du camps et en machouillant ma tente! sur ma tente décathlon, j'ai à présent une empreinte dentaire de "FOX"! ;)

Tout ça pour dire que si j'avais entendu hurlé une meute de chacals en plein apéro et préparatif de braï, je ne serai pas précipité au point d'eau, mais vers ma glacière!  ;)

Dans ton cas je les soupçonne d'avoir engagé un léopard pour distraire les touristes pendant que le reste du groupe fait une razzia sur le camp! avec les derniers arrivés ça doit marcher le premier soir!  :D
T'es certain que c'était un vrai léo?  ;D Fait voir les photos! ;D

Il est vrai que des écriteaux aux gates signalaient de bien les refermer immédiatement en raison des chacals devenus extrêmement nombreux. Mais c'était bien un vrai léopard, mais de nuit, la photo avec un télé pas trops lumineux, il faut mettre une croix.

J'avais une vrai hutte, en dur, je ne craignais rien des chacals, et le guide s'occupait du repas, je n'ai donc pas hésité une seule seconde à aller voir ce qui se passe.

Apparemment ils ont du refaire le grillage autour de Nossob, on n'a pas vu un seul chacal à l'intérieur.


Voilà la suite.

13. jours, 23.08.2007: Une journée depuis Nossob

Après un petit-déjeuner matinal, départ à 7h, à l'ouverture de la Gate. Le matin, on continue en direction du nord en suivant encore et toujours la rivière asséchée.

Le guide nous avait annoncé un front froid depuis quelques jours, il a finit par arriver. Il faisait 10° de moins que la veille, du coups, à midi, la température n'a atteint que 30°. Donc côté température, le front froid était plus que supportable, mais par contre, il y avait du vent! On pense d'abord qu'un peu de vent ne gêne pas, mais les animaux n'apprécient pas tellement le vent et reste à l'abri. L'observation n'est donc pas terrible ce jours.

Le premier arrêt était pour un steenbok (pas sûr, mais je crois bien):
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M'enfin, on prend donc la piste en direction du nord. Peu après le premier trou d'eau, une hyène brune! Le guide n'en croyait pas ses yeux, il vient régulièrement dans ce parc et ne vois que très rarement une hyène brune. Cette fois-ci, c'est déjà la deuxième!

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La hyène aurait bien aimé traverser la route, mais il y avait notre voiture sur la route et entre temps, quelques autres touristes se sont joint à nous. Du coups, pendant qu'elle cherchait un passage, on a bien pu l'observer, c'était superbe de pouvoir suivre une hyène brune pendant une dizaine de minutes.

Après cela, on a laissé la paix à la hyène et on continue notre chemin, suivi par quelques voitures. Ils s'étaient rendu compte qu'on avait quelqu'un à bord avec de très bons yeux pour voir les animaux, du coups, quasi à chaque arrêt, une des voitures remontaient jusqu'à nous pour nous demander ce qu'on voyait. Ils sont restés collé à nous pendant une bonne majorité de la matinée.

En chemin, rien de particulier, les habituels autruches, gnus, oryx, chacals et springboks. Mais c'est l'occasion en route pour quelques paysages (avec des gnous, oryx, autruches):

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On a encore continué jusqu'au Kousant Waterhole, où il y avait un troupeau de springboks:
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Avec le vent, les animaux ont préférés rester à l'abri, après ce trou d'eau, on est donc retourné tranquillement à Nossob, toujours poursuivi par quelques touristes. Quand ils se sont finalement rendus compte qu'on s'arrêtait presque pour chaque oiseau, ils nous ont dépassés et nous ont laissés à nos observations. Trois minutes plus tard, juste à côté de la route, un autre chat sauvage africain:

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(http://photo.colorsofwildlife.net/0289345001189623469-83772326.jpg)

Après cela, retour au campement pour midi. D'abord, un repas de midi, et ensuite, on a l'après-midi libre jusqu'à 16h. Voilà une photo du trou d'eau (pour les animaux) de Nossob, prise avec un 19mm en numérique, donc éq. 28mm:

(http://photo.colorsofwildlife.net/0731177001189623678-83772326.jpg)

On quitte du campement à 16h pour un Game Drive. On reprend cette fois la piste en direction du sud, jusqu'au point où on avait aperçu la lionne au milieu de la route la veille. On y a aperçu au loin, 7 lions, malheureusement trops loin pour une photo.

Et, après les touristes la veille n'allant pas au point d'eau malgré les cris des chacals lorsque le léopard est arrivé, aujourd'hui un couple de touristes nous arrive en face, en fiat punto! Inutile de dire que mis à part le bord de la piste, ils n'ont pas du voir grand chose du Kgalagadi. Ils s'arrêtent à côté de nous et demande à notre guide, si on ne leur avait pas des jumelles, car ils n'ont qu'un appareil photo 28-80, rien de plus! Il faut quand même le faire, aller jusqu'en Afrique du Sud et visiter un parc national, sans jumelles, sans télé, et avec une voiture totalement inadaptée au terrain, très fort. Ceux-ci n'ont certainement pas visiter ce site avant leur départ. Le guide a pu les dépanner...

Mis à part ces 7 lions, on a encore vu ce soir, à nouveau une hyène brune, mais elle ne pouvait pas rivaliser avec sa collègue du matin. Mais c'était quand même la 3ème hyène! Sinon, les habituels Oryx, gnou et springbok.

Un coucher de soleil avant de retourner au campement:
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Et on fonce au campement avant la fermeture de la gate...

Au prochain numéro, on aurait dû aller de Nossob à Mata Mata, pour les dunes de sable rouge, mais l'Afrique nous réserve toujours des surprises, je n'en dis pas plus pour l'instant.

Bien attirante cette région... Pas très boisée, ce qui lui donne un avantage certain pour l'observation de la faune.  (Y)
Superbe hyène !  8)

Chouettes photos

Je te taquinais pour le léo, mais j'aurais bien vu 8 petites pattes de chacals sous une peau de léo ;D

Bonne nouvelle que la clôture soit refaite, en plus les poubelles étaient basiques avec un simple couvercle, donc ils s'en donnaient à coeur joie...Pas moyen de dormir...
Et ce bruit de bouteiles vides qui s'entrechoquent  résonnant dans tout le camp quand c'est votre votre poubelle qui est renversée, c'est gênant... :-[  ;D

 

 (Y) (Y) (Y)

Merci, c'est à chaque episode un "kick" pour mon moral !

manu

Magnifique carnet de voyage! (Y)
Et toutes ces fleurs plus sompteuses les unes que les autres,c'est une splendeur et un régal pour les yeux!
Bravo! ;)

Merci Patrick, c'est vrai que pour l'observation, ce genre de végétation c'est idéal.


Oui je vois, c'est pas idéal! On n'a pas vu un seul chacal à l'intérieur du campement.


Merci, les kicks, c'est bientôt fini, on s'approche malheureusement bientôt de la fin.


C'est vrai que je ne m'attendais pas à autant de fleurs, et quel contraste avec la suite du voyage.

14. jours, 24.08.2007: De Nossob à Mata Mata (selon le programme initial)

Après le petit-déjeuner, départ à 7h à l'ouverture de la gate pour Mata Mata. Ce jours devait être le grand jours où on va finalement voir les dunes de sable rouge du Kalahari, mais l'Afrique en a décidé autrement.

Au campement, on entends au loin le grondement des lions. Le grondement vient aussi bien du nord que du sud. On part pour le sud, d'abord le long du lit de la rivière asséchée. On garde les yeux ouverts, avec ces grondements de lions, ils ne doivent pas être loin. Et très bientôt, sur le côté droite de la route:

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Plus haut sur la crête, 3 lionnes:

(http://www.pbase.com/tcom/image/84832492/original.jpg)

De l'autre côté, on aperçoit le mâle sous un buisson. On espère qu'il va bientôt se lever pour rejoindre les 3 autres, mais après 20 minutes d'attentes, on finit par abandonner et on continue notre chemin. On aperçoit assez rapidement un chacal. Comme je n'ai pas encore mis de photo de chacals, c'est une des dernières occasions:

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Peut-être un ou deux kilomètres plus loin, à renard du cap dormant paisiblement à côté de la route. On essaie de faire un peu de bruit, mais il ne prend pas garde à nous. Après un moment, il finit tout de même par lever la tête, pour quelques secondes:

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Et encore un peu plus loin, enfin un bubale à portée d'objectif:

(http://www.pbase.com/tcom/image/84832495/original.jpg)

A l'endroit où on avait la lionne en plein milieu de la route, la famille de 7 lions est juste à côté de la route, avec deux carcasses de gnus, certainement de la nuit passée. Voilà quelques photos:

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Il n'est même pas encore 10h et on a déjà vu beaucoups. On se dit que la journée commence très fort et on se réjouit pour la suite. On continue notre chemin et après quelques kilomètres, sur la piste sable sous forme de tôle ondulée, un bruit sourd à la roue arrière droite, l'arrière du véhicule penche sur la droite et le guide tente de maintenir la voiture sur la piste. Une fois à l'arrêt, le guide sort et fait une inspection rapide, tout à l'aire en ordre sauf que la roue semble avoir reculé de 6cm! Comme ce n'est pas vraiment un endroit pour une inspection de véhicule, le guide remonte à bord et on arrive à rejoindre la prochaine aire de picnic:

(http://www.pbase.com/tcom/image/84832505/original.jpg)

Coups de chance, l'équipe de maintenance du parc est justement dans cet aire de picnic. Le guide leur demande de jeter un oeil au véhicule, c'est la suspension qui s'est brisée, pas question de continuer. Grâce à la radio de l'équipe de maintenance (pas de réseau avec un tél. mobile), on prend contact avec Nossob, Twee Rivieren étant trops loin. Nossob n'a pas de véhicule pour nous chercher, mais ceux-ci demande à Twee Rivieren, ils ont un véhicule, mais aucun chauffeur. Il faut donc trouver autre solution.

Nossob envoie leur mécanicien avec un appareil de soudure, ils disent qu'ils ont l'habitude de ce genre de panne. Après 1 heure d'attente, le mécanicien arrive de Nossob avec 11 aides (ils avaient donc quand même un véhicule). Tout d'abord, il faut dégager la roue pour enlever la suspension, mais pour cela, il faut une clé de 24, et c'est exactement cette clé qui manque aussi bien dans la boîte à outils de notre véhicule que dans la boîte à outils du mécanicien. La réparation semble donc déjà compromise avant d'avoir commencée. On arrête donc chaque Toyota Landcruiser qui passe en se disant qu'il y en aura bien un avec une clé de 24! Le premier en a pas, le second non plus, le troisième ne sait pas où se trouve la boîte à outil et le quatrième a la clé nécessaire.

Ils ont commencés à tout démonter. Nous, on a pris notre picnic. Vers 13h les opérations de soudure commençaient et bientôt, les opérations d'assemblages ont commencé, et la soudure s'est brisée. On démonte tout et la seconde opération de soudure commence vers 14h. Le mécanicien se donne beaucoup de peine pour ne pas nous décevoir à nouveau. Le guide est confiant et nous annonce qu'ils n'ont plus qu'à tout remonter et on peut repartir, la soudure s'est à nouveau brisée.

On est arrivé à 10h, et à 16h, voilà la vue qui s'offrait à nous:
(http://photo.colorsofwildlife.net/0480324001189712249-837660113.jpg)

La 3ème tentative de soudure de la suspension est la finalement la bonne, la soudure ne s'est pas brisée lors du remontage. Avec une telle réparation de fortune, plus question d'aller à Mata Mata, on choisi la sécurité et on préfère aller à Twee Rivieren, à l'entrée du parc. Ils ont un garage et pourront faire les vérifications nécessaires (pour autant que la soudure tienne jusque là).

L'équipe technique qui répare notre véhicule s'est arrangé avec Twee Rivieren pour qu'ils nous envoient un véhicule à notre rencontre, au cas où la réparation ne devait pas tenir. De plus, des chambres ont été réservées pour nous.

A 18h, tout est remonté et ont peut enfin repartir. L'équipe qui a réparé notre véhicule nous regarde partir avec un air voulant dire par trop rassurant. Une fois n'est pas coutume, on roule lentement, de toute façon, on arrivera jamais avant la fermeture de la gate à Twee Rivieren. A cette distance du campement, à la tombée de la nuit, les animaux n'ont pas l'habitude de voir encore des véhicules et c'est fou ce qu'on arrive encore à voir, mais trop sombre pour une photo. On voit pas moins de 5 Porc-Epic à crête!

A mi-chemin on croise enfin le véhicule de Twee Rivieren envoyé à notre secours. C'est le soulagement, quoi qu'il arrive, on pourra maintenant rentrer au campement. On arrive finalement à 21h40 à Twee Rivieren. Le chauffeur envoyé à notre secours nous ouvre la gate. Le guide n'a plus aucune envie de nous faire à manger et s'est arrangé avec le resto du campement de rester ouvert plus longtemps.

Les dunes rouge ne seront donc pas pour ce voyage. Mais il faut le voir du bon côté, j'ai une raison de retourner au Kgalagadi.

Au prochain numéro, retour à Upington, la fin des vacances approche à grand pas.

Tout bon voyage en Afrique se doit de comporter une partie réparation mécanique sinon c'est pas marrant  ;D  ;D

petite question sans rapport avec ton carnet mais est-ce que le poste frontière de mata mata pour aller en namibie est ouvert ?

... et tu nous a donné plein de bonnes raisons d'y aller.  :D

Ahhh tous ces lions !  (Y)

Ne t' en fais pas pour le bout de programme qui n'a pas été fait, même si ça laisse toujours un regret, ça arrive souvent.
Par exemple, nous n'avons pas fait une rando qui promettait beaucoup au Drakensberg, à cause de la météo (un vent
à rendre fou !) Comme tu dis : un bon "prétexte" pour y retourner.  ;D

Il est vrai que maintenant que tu le dis, je crois bien avoir eu droit à une réparation lors de chaque séjour en Afrique.

Pour ce qui est du poste frontière de Mata Mata, je ne sais pas. Je n'ai rien vu indiquant que c'était fermé, mais je n'ai pas cherché. Et comme on a pas réussi jusqu'à Mata Mata...

C'est vrai qu'il y a beaucoup de raison d'y aller. Le Kgalagadi est vraiment superbe, et tant que la route d'accès au parc n'est pas refaite, il reste une destination à l'écart des grands groupes et de la foule.

Ah, les Drakensberg, ils feront parties du prochain voyage...

15. jours, 25.08.2007: De Twee Rivieren à Upington

Le voyage commence à joliment sentir la fin. C'est le dernier jours du circuit, depuis le Kgalagadi jusqu'à Upington, et ensuite ce sera le retour.

Etant donné l'état de la piste à la sortie du Kgalagadi, le guide fait d'abord vérifier les réparations de fortune de la veille par le garage du campement, le méchanicien décide de renforcer la réparation, la voiture est bloquée jusqu'à midi. C'est l'occasion pour nous de nous promener dans le campement et faire quelques photos:

(http://www.pbase.com/tcom/image/84832506/original.jpg)

(http://www.pbase.com/tcom/image/84832507/original.jpg)

(http://www.pbase.com/tcom/image/84832508/original.jpg)

Vers midi, la voiture est prête et on se met en chemin pour le retour sur Upington. Peu après la sortie du campement, les suricates qui nous manquaient encore, malheureusement assez loin pour l'objectif, mais c'est mieux que rien:

(http://www.pbase.com/tcom/image/84832509/original.jpg)

(http://www.pbase.com/tcom/image/84832510/original.jpg)

Le reste du chemin se fait sans encombre, la réparation tient le coups, et pas d'observations non plus. En fin d'après-midi, on arrive à notre Guesthouse, dont voilà la vue:

(http://www.pbase.com/tcom/image/84832511/original.jpg)

Voilà le circuit est terminé.

On était un très petit groupe, 5 personnes plus le guide, c'était donc quasiment un circuit privé. Moi, j'ai dû rentrer le lendemain, les autres ont prolongés volontairement (il faudra lire la suite pour comprendre "volontairement") au Cap.

C'était un superbe circuit, le voyage a dépassé de très loin mes attentes. J'ai surtout fait le voyage pour la Kgalagadi, mais ce qui m'a le plus surpris, ce sont les fleurs, en particulier dans le Namaqualand.

J'ajoute encore de suite les péripéties du retour.

Ça sent le volontaria pour surbooking avec compensation ça non ?

Sur la troisième, c'est quoi comme animal ? Mangouste ? (Ça me paraît gros pour une mangouste ?)

C'est une mangouste jaune à peine sortie de son terrier.

Ceux qui ont prolongés volontairement avaient déjà réservé la prolongation avant le départ.

Par contre, je suppose fortement que SAA pratique l'overbooking après ce qui s'est passé à Johannesburg. Cela expliquerait également pourquoi les vols SAA sont systématiquement plein jusqu'à la dernière place. Mais je laisse le soin de juger avec ce qui suit.

16. jours, 26.08.2007: Début du retour sur Genève

Lorsque j'avais réservé le vol chez South African Airlines (SAA) début mars, j'avais réservé Upington - Genève. SAA m'a alors émit le billet avec le vol Upington - Johannesburg départ vers 11h, Johannesburg - Francfort en soirée puis vol pour Genève. Aucun problème, j'étais pas très content de devoir passer 5h à l'aéroport de Johannesburg, mais bon, je ne pouvais rien y changer.

Fin mars, SAA supprime le vol du matin le dimanche de Upington pour Johannesburg. Je reçois un nouveau billet, vol en fin d'après-midi pour Johannesburg et comme l'arrivée à Johannesburg est trops juste pour le vol sur Francfort, je passe maintenant par Londres. Le temps d'attente à Johannesburg n'est plus que de 2h. 2h pour changer de la partie nationale à la partie internationales de l'aéroport, avec toutes les procédures. Ceux qui connaissent l'aéroport savent que c'est possible, mais il n'y a pas beaucoup de marge.

Je me rends donc dans l'après-midi à l'aéroport de Upington. Ce doit être un aéroport avec un seul employé, il ouvre la porte 2 heures avant le vol, fait l'enregistrement, le contrôle de sécurité, charge le chariot bagage de l'aéroport, s'occupe du kiosk et vient à la gate au moment de l'embarquement. A l'enregistrement, je demande s'il peut enregistrer les bagages jusqu'à Genève, il me dit qu'en principe il ne peut enregistrer les bagages que jusqu'à Johannesburg, mais comme l'avion a du retard, il va faire son possible pour que je n'ai pas encore à m'occuper des bagages à Johannesburg. Il réussi et me dit que comme l'avion à 2h de retard il va contacter Johannesburg pour leur dire de m'attendre... Je résume: 2h de retard sur les 2h de transit à disposition et SAA faisant attendre un A340 pour Francfort juste pour moi, le seul passager de Upington en correspondance de ce vol depuis Upington, je n'y crois pas vraiment...

Je vais m'asseoir et je vois qu'une fois le reste des passagers enregistrés, l'employé de l'aéroport va téléphoner, revient, récupère mon sac de voyage du chariot, enlève le ticket bagage et y colle un nouveau, avec Johannesburg comme destination, SAA ne fait donc pas attendre un A340 pour un passager. L'employé vient vers moi et m'explique que SAA ne va pas attendre, une personne m'attendra à la descente de l'avion à Johannesburg et s'occupera du logement et de me trouver une place sur un autre vol. J'ai donc droit à une prolongation non volontaire.

L'avion arrive à rattraper un peu de temps et à Johannesburg, il reste 15 minutes jusqu'au vol pour Francfort. L'employée m'attendant à la sortie me dit de récupérer la valise, pendant ce temps, elle contacte SAA pour m'attendre et elle me prendra en voiture à travers le tarmac jusqu'à l'avion. Cela semble encore jouable, mais elle revient et me dit que l'avion n'attendra pas. Je suppose que SAA pratique l'overbooking et a redonné ma place au suivant dès qu'ils ont appris mon retard depuis Upington.

Elle m'emmène donc dans un bureau et je m'attends naivement, à un bon pour un hôtel de l'aéroport ainsi que d'un nouveau billet pour un vol du lendemain. Il n'en est rien, le vol de Upington à Johannesburg était effectué par SA Airlink, une filiale de SAA, et le vol qui ne m'a pas attendu par SAA. Donc gros problème: qui paie l'hôtel, SA Airlink ou SAA?

L'employée s'affaire pendant une heure à téléphoner dans tout l'aéroport pour trouver un responsable veuillant bien s'occuper "du problème", mais un dimanche soir à 21h, les vols internationaux ont tous quittés l'aéroport, il ne reste pas grand monde. Elle me dit que le mieux c'est d'aller à l'hôtel, tout payer moi-même et de leur envoyer les quittances... Non, moi, on ne me le fait pas.

Elle m'emmène donc dans la partie internationale de l'aéroport. Si personne ne répond, peut-être qu'on trouve tout de même encore quelqu'un. Aux guichets de check-in, il n'y a plus personne, ni devant, ni derrière, même l'équipe de nettoyage est déjà partie. Finalement, on trouve quelqu'un. Je reçois (de la part de SAA) un voucher pour une chambre dans un hôtel à proximité de l'aéroport, avec repas du soir, petit-déjeuner et repas de midi. Pour ce qui est d'un billet pour rentrer, il n'y a plus personne, il faut que je retourne le matin à l'aéroport au guichet "Sales and Tickets" pour voir quand je trouve une place pour l'Europe...

Inutile de le dire, je n'ai pas bien dormi cette nuit.

17. jours, 27.08.2007: Suite du retour sur Genève

A 8h du matin du 27 août, alors que je devais être bientôt à la maison, je me rends au guichet "Sales and Tickets" de SAA et je leur explique le problème. Puisqu'ils doivent me refaire un billet, autant qu'il ne soit pas par Londres. Je demande donc le vol direct pour Zurich. Que je rentre en train depuis Zurich ou Genève, cela ne change plus grand chose. On me dit que SAA ne va pas à Zurich. Je lui dit que SAA n'y pas plus avec leurs propres avions, mais font du code-sharing avec Swiss. Il consulte à nouveau son écran et me dit qu'il n'y a plus de place. Je demande donc Francfort, il regarde mon billet et y voit une indication interdisant le changement d'itinéraire! Il me réserve donc une place par Londres par le vol du soir.

Je demande encore, si j'ai le droit à une indemnité, pour un retard de 24h. L'employé consulte son écran et me dit, le vol pour Londres est parti à l'heure la veille, si je ne me présente pas, ce n'est tout de même pas la faute de SAA >:D >:D >:D C'est peut-être la mienne si SAA annule les vols et me redonne des billets avec des temps de transit trop court?

Je passe donc le reste de la journée à l'hôtel et à l'aéroport et je prends le soir le vol pour Londres, plein jusqu'à la dernière place. J'ai pris la place de qui?

Attention: ce voyage m'a permis de voir un A340 (Francfort - Le Cap) ainsi qu'un Boeing 747 (Johanneburg - Heathrow) de SAA. Le A340 est nettement plus confortable et il y a sensiblement plus de place dans les sièges en tout cas en éco que dans le 747. Le 747 est une vrai boîte à sardines.

18. jours, 28.08.2007: Enfin à Genève

Mis à part le manque de place, le vol se passe bien, à Heathrow, j'ai le droit à tous les contrôles de sécurités: enlever les chaussures, inspection du matériel photo, inspection du GPS, la totale. Un peu plus, et je manquais la correspondance pour Genève, mais avec 24h de retards, ce n'est plus 2h de plus ou de moins qui vont changer grand chose.

Merci d'avoir lu jusqu'ici.

Dur dur le retard, au retour c'est peut être moins dur à avaler qu'à l'aller, mais tout de même...

A l'époque (mars 2007) ou SAA allait encore à Zurich j'avais pu enregistrer mes bagages à Upington pour Zurich, bien content d'avoir pu échapper à la pesée à JHB (j'étais en surcharge et à Upington c'était très très cool à ce niveau...) et de me débarrasser de ma tente!

Ils sont très arrangeant à Upington. Ils avaient pu enregistrer les bagages jusqu'à Genève, en passant par Heathrow (le vol Heathrow - Genève était en plus British Airways).

Le mieux était le check-in à Johannesburg le lendemain. Je demande s'ils peuvent enregistrer les bagages jusqu'à Genève. Ils me disent que non, le vol de Heathrow pour Genève étant British Airways, donc une autre alliance, ils ne font pas le travail des autres. Je me suis montré étonné, et j'expliquai à l'employé que même l'aéroport d'Upington avait réussi... Il a fait la grimace, se battait un moment avec son ordinateur, et voilà, le sac était enregistré jusqu'à Genève! Déjà que je n'avais pas beaucoups de temps à Heathrow, si en plus je devais récupérer le sac...

Pour ceux que cela intéresse, voilà la carte avec l'itinéraire (sorti du GPS):

(http://photo.colorsofwildlife.net/0826950001189800352-8376371.jpg)

Au total, on aura fait 3400km en 15 jours.

Bonjour la galère !... Et tu n'es pas le premier a raconter des problèmes avec les vols SAA.

mais merci pour ce carnet qui m'a donné envie, bien qu'elle fût déjà là, d'aller voir ce kgalagadi imprononçable  ;)

Le poste frontière de Mata Mata est supposé ouvrir le 12 octobre 2007, d'après un communiqué officiel Namibien. Pour pouvoir l'emprunter, il faut rester au moins 2 nuits dans le parc.
Ca peut aider pour la prochaine fois ...

Ce n'est pas le retard qui me dérange. Choisir entre un vol à l'heure et un avion en bon état, je préfère l'avion en bon état. Du retard pour cause technique, cela peut arriver à n'importe quelle compagnie. Le fait que SAA ne fait pas attendre un A340 pour une seule personne en retard est compréhensible.

Ce qui me dérange par contre beaucoup plus, c'est la façon de SAA à gérer le problème.

L'aéroport de Johannesburg a été contacté à 16h pour leur signaler le retard de deux heures. Je m'attendais que la personne m'attendant à Johannesburg aurait déjà tout organisé, la suite du voyage et l'hôtel. Mais ce n'est qu'au moment où je suis descendu de l'avion à 20h30 qu'ils ont commencé à chercher quelqu'un qui pourrait bien se charger d'émettre un billet.

De plus, lorsque j'ai demandé si SAA prévoyait un quelconque dédommagement, ils m'ont dit que ce n'était pas de leur faute, si je ne me présente pas à la porte d'embarquement à temps. Alors que SAA n'avait fait que d'annuler le vol réservé initialement et lorsque j'avais encore demandé si 2h pour changer d'avion suffisait à Johannesburg, on m'a dit de ne pas m'en faire, la liaison était garantie. Je trouve cela un peu facile, SAA change le billet, réserve un plan de vol ne tolérant aucun retard, mais si cela ne devait pas fonctionné, ce n'est quand même pas la faute de SAA...


Le Kgalagadi est très beau, beaucoup d'animaux, et je n'en ai vu qu'une petite partie. Mais le Kgalagadi demeure imprononçable.

Si cela devait encore intéressé du monde, les photos de ce carnet de voyage et encore quelques-unes de plus (je ne voulais pas noyer le carnet de voyage d'avantage dans les photos), une sélection des photos de ce voyage se trouve sous:

http://www.pbase.com/tcom/rsa2007 (http://www.pbase.com/tcom/rsa2007)

Je n'ai pas le lien  :(

Une faute d'oubli. C'est corrigé... (http://www.pbase.com/tcom/rsa2007 (http://www.pbase.com/tcom/rsa2007))

Super carnet, merci pour ce partage et pour me donner des idées de voyages des fois que je serais en manque ;)

En effet, superbe carnet de voyage, très intéressant et photos inoubliables !  (L) Mais quelle galère pour le retour ! Je trouve que les inconvénients dus aux retards en tous genres, perte de bagages et problèmes divers se font de plus en plus fréquents mais c'est moins frustrant au retour qu'au départ... :'(

Merci d'avoir lu ce carnet de voyage. En tout cas, si c'était à refaire, je prendrais le même itinéraire et surtout, à la même époque de l'année pour pouvoir profiter des fleurs du Namaqualand. Par contre, j'aimerai bien étaler ce tour sur 3 semaines plutôt que 2, avec un peu plus de temps dans le Namaqualand, à Augrabies et surtout KTP.

Pour les aventures du retour, des retards peuvent tout le temps arrivé, mais c'est la manière de gérer le problème qui m'a fortement déplu. Mais heureusement que ce problème était au retour et non à l'aller.

Merci pour ce petit moment de liberté et de voyage. Le récit était sympa tout comme les photos  (Y)

Merci tcom pour ce petit bout de voyage en ta compagnie, somptueux!!!!!!!!!!!!!!

Voilà, je viens de m'enfiler tout d'une seule traite!  :)
Comme les COWpains, je suis époustoufflée par les tapis de fleurs du Namaqualand et cette photo avec l'éolienne en arrière plan est divine!  (Y)

Je confirme que la gravel road reste indécrottable en secousses en tout genre! Une vraie Samba...


Nous avons quitté le KTP il y a 4 jours et en effet (par rapport à l'année passée) les gates du camp (Nord et Sud) doivent être refermées, après chaque passage de véhicule.
Par contre... Je confirme que les chacals sont toujours bien présents dans le camp, notre bungalow était situé à une des extrémités et dès la tombée de la nuit, le grand balais des "chasseurs de braai" se mettait en route... En moyenne 5, à 7 chacals.
Cependant, je n'ai plus vu de poubelles extérieures.

This is Africa!  ;D
Nous avons eu la chance de ne pas connaître ce genre de tuiles! Quelle mouise! O0

Tout a fait.  ;)

Notre vol de Upington à JNB a aussi été déplacé (16h50) mais fort heureusement nous avions de la marge pour JNB, où le vol d'AF ne décollait qu'à 23h45!

La lionne sur la piste, le léopard au Hide de Nossob et surtout le renard du cap : de bien belles rencontres

---

>:( :-X

Merci Simba.

Pour moi, la raison principale de ce circuit était le KTP. J'en ai profité de la faire au moment des fleurs, mais je ne m'attendais pas à autant de fleurs. Ces fleurs étaient vraiment le point fort du voyage.

Il me semble qu'on s'est presque croisé dans le KTP. Si jamais tu as vu un groupe de personnes avec encore quelques mécaniciens autour d'un véhicule à une place de picnic?

Oui, SAA a retiré du plan de vol le vol du dimanche matin de Upington sur Johannesburg. Il ne reste que  celui de 16h50 arrivant normalement à 18h40. C'était déjà court pour le vol de 20h40, mais comme le vol de Upington avait 2 heures de retard, j'ai eu droit à un jours supplémentaire dont je me serais bien passé.                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                     

 ;D Bonjour

De retour de ce même ou pratiquement même périple mais dans l'autre sens inverse en fait nous avons fait Jo'burg le Cap
je suis encore sous le charme du Namaqualand un tel tableau avec ces champs de fleurs et surtout le kgalagadi c'est notre 3ème périple dans ce parc pour moi le plus beau de l'AS 

déjà nous pensons a repartir dans ce même parc

C'est vrai que le Kgalagadi est un très beau parc. Les fleurs du Namaqualand laissent un souvenir inoubliable, des tapis de fleurs, jusqu'à l'horizon.

Pour ma part, je pense bien retourner dans le Kgalagadi, mais peut-être aussi voir plus au nord, dans le Central Kalahari au Botswana, mais avant, ce sera pour moi un tour depuis Durban à Jo'burg en passant par les Drakensberg, St-Lucia, Hluhlue et surtout le Kruger, en trois semaines, en avril.

Carnet de voyages superbe, et ces fleurs!!!... :) (Y)

Oui, les fleurs étaient certainement le plus marquant de ce voyage.


Pour ceux que cela intéresse, j'ai fait un essai avec smugmug pour héberger mes photos:

http://dschreckling.smugmug.com/gallery/3545631#200756020 (http://dschreckling.smugmug.com/gallery/3545631#200756020)

(il y a également une gallerie sur un voyage au Botswana l'année passée: http://dschreckling.smugmug.com/gallery/3539708#200323712 (http://dschreckling.smugmug.com/gallery/3539708#200323712))

Pffff ! je viens de lire ton carnet d'un coup... superbe récit ! ça donne bien envie toutes ces fleurs... tu as vu aussi pas mal d'animaux (veinard) et j'ai bien reconnu les petites galères techniques qui font le charme de ces voyages
j'ai adoré l'écureil grignotant la queue du voisin, la rencontre de la lionne et j'aurais adoré croiser une hyène brune
merci du partage

Génial ce voyage !!!! Toutes ces fleurs, c'est absolument splendide !!! Franchement, ça donne trop envie...! En lisant tout d'une traite, j'avais presque l'impressin d'y être...
Merci beaucoup, vraiment !

Tout lu d'un coup! me suis régalée!!! Merci beaucoup :)

Carnet très interessant, bien illustré, une profusion de fleurs ( un gros coup de coeur pour ta photo de protéas avec une lumière sublime et un ciel à tomber post 11  (L)  (L) ), bravo aussi pour tes fous du Cap  (Y)  (Y), et tes lions, bref un super moment...............merci pour ce partage

Merci pour tous vos commentaires.

Peut-être que j'ai pu donner à quelques-un une idée pour un coin moins connu de l'Afrique du Sud pour un des prochains séjours.

En tout cas pour moi, ce serait un tour à refaire. Peut-être une ou deux semaines plus tard dans l'année pour espérer peut-être d'autres fleurs. Mais la prochaine fois, je vais prendre un livre pour l'identification des fleurs avec moi, car là, avec juste la photo, ce n'est pas facile...

Je vais sans doute bientôt commencer à inonder le fil concernant l'identification de mes fleurs...

Carnet de voyage magnifiquement illustré. (L) (L) Le problème du Namaqualand c'est l'incertitude de la présence ou non des fleurs. En 3 passages dans cette région à la même époque 2 ont été illuminés par la profusion des fleurs,le dernier par un désert complet les pluies n'ayant pas été au rendez-vous. Pour voir d'autres espèces de fleurs tu peux continuer jusqu'au Richtersveld.

Ahhhh voila, ça m'interesse !
Tu les as encore ?

Oui, LeTigre, je les ai encore et je viens de te les envoyer...