389. Une mangouste, qui refuse de poser de face
390. Un hippo, qui a encore et toujours refusé de bailler !
391. Une giraffe, qui a bien bataillé
Mais je ne peux m'empêcher de revenir, attirée comme par un aimant, vers mes gros chats !
392. Dame Siena
393. Et une partie de la troupe, dans son petit coin de paradis
394. Dernière image de Mara...
Rashid me ramène au camp vers midi et je le laisse rentrer en 4x4 à Nairobi. Quant à moi, pour le retour, toujours éprouvant, je préfère prendre l'avion. Un employé du lodge m'amènera à l'air-strip de Musiara vers 16h. Sur la route entre le lodge et l'air-strip, l'émotion, comme toujours et de façon inexplicable, l'emporte : je pleure à l'idée de quitter ce petit paradis...
Arrivée à l'aéroport Wilson, j'ai droit à l'accueil VIP prévu par Rashid : son beau-frère Fareedh m'attend pour me transférer à l'aéroport international. Voiture spacieuse et confortable (du type Espace), chauffeur sympathique et prudent, arrêt dans un supermarché à Nairobi pour de l'Amarula et des cigarettes (Fareedh, étonné : "Ah bon, il n'y a pas de cigarettes dans les supermarchés en France ? Ah bon, les supermarchés ne sont pas ouverts le dimanche en France ?" ).
Bref, impeccable.
Dans le vol du retour, je repense avec un sourire à ce que m'a dit Rashid quelques jours plus tôt : "Il y a des chauffeurs massaïs qui commencent à t'appeler Mama simba !" On se demande bien pourquoi !
Ainsi se termine ce carnet, que je vous remercie tous d'avoir suivi. Le prochain voyage aura lieu en Tanzanie, fin février, où j'espère voir encore des gros chats !