De retour sur les pistes Kenya sept.2012 Samburu, Nakuru, Masai Mara

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Ils s’arrêtent près d’un arbuste et nous les y laissons. En en chemin nous rencontrons un petit groupe d’éléphants puis nous longeons la rivière Mara. Un troupeau de gnous hésite pour effectuer la traversée. Nous attendons le « crossing » avec espoir.  Peter nous raconte que pendant la migration du côté tanzanien des feux ont été allumés pour « retenir » les gnous dans le Serengeti. Cela a donné lieu à une tension diplomatique entre le Kenya et la Tanzanie. Nous avons du mal à croire cela tellement c’est insensé.
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Les gnous hésitent et finalement ne traverseront pas. Nous les laissons donc et allons déjeuner. Les chinois bruyants sont partis. Il y a plusieurs couples de Japonais en voyage de noces, ils font preuve d’une élégance vestimentaire très étonnante. Ils sont habillés de vêtements de marque et tirés à quatre épingles. Je n’ose pas les photographier mais c’est un safari un peu décalé  . En tout cas ils contrastent nettement avec notre tenue.
Nous repartons dans l’après midi et observons une lionne avec ses lionceaux. Malheureusement ils sont dans les herbes et dans de denses bosquets de croton tree.

En longeant la rivière Mara, nous rencontrons un aigle pêcheur juvénile. Encore une fois c’est une première pour nous.
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Des zèbres suivent le troupeau de gnous, toujours pas décidés à traverser. La lumière devient intéressante, mais je n’ai qu’un zèbre à photographier.

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Un francolin

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Le temps hésite entre nuageux et soleil, c’est très curieux.
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Nous sommes seuls dans cet endroit de Masai Mara et d’ailleurs nous ne savons plus où nous sommes. Heureusement Peter sait mieux s’orienter que nous.

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Pour le lendemain, Peter propose d’aller dans le Mara Triangle. Nous avions beaucoup aimé le triangle il y a 3 ans.

[samapi]

De bien belles photos de paysage   
J aime bien l aigle en 204 et le petit zebre en 207 
Excellent Malaika en 198 

[gégé red léo]

Je trouve excellentes les photos 189 et 190 du vautour qui creuse l' orbite du gnou : on voit

souvent la scène mais il est difficile de faire des photos correctes ...

Une mention aussi pour le paysage en 208 et 210

[Canis lupus]

C'est que...bon je me lance, j'avoue qu'au siècle dernier D Hamilton a marqué mon adolescence. 

Ceci étant avec les nuages la lumière était ouatée.

Même avec une lumière pâlichonne, un petit coup vite fait de Photoshop, Lightroom, NX2, DPP ou plein d'autres, et le tour est joué 

[Castafiores]

Belle série. Un plus pour le vautour, Malaïka en 201, le petit zèbre et le paysage en 210.

[flying1]

Je rejoins les commentaires sur le vautour dans l'oeil, c'est superbe! (encore un mec de la compta de la voite de casta qui aura passé un sale quart d'heure!  ).

Pour la question du contraste c'est sûr que c'est toi qui choisis mais un bon contraste donne parfois plus de force à une image. Mais il y a évidemment des cas où l'inverse sera plus intéressant, c'est une question de dosage.

[RV]

Sous la pluie (140) 

les bonds des impalas
la belle dentition en 160 
BB guépards 169 
191: le vautour dans son environnement naturel 

aigle en 204

Arh! le style "D Hamilton" en animalier, ça le fait moins...

[Laurent Renaud]

Et oui pour moi aussi
le vautour 

et la dernière 210
quelle ambiance apaisante     

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Merci à tous 

12 septembre 2012

En route pour le triangle donc avec notre pic nic.  En chemin nous rencontrons  un jeune topi puis des élands dont des jeunes.

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Et puis en franchissant un gué nous nous enlisons. Rien à faire cela ne passe pas, je dis à Peter que nous allons descendre pousser. Juste avant de descendre je remarque une trace de félin fraîche dans la boue juste à côté du véhicule, probablement une panthère. Bon nous sommes déjà descendus à de multiples reprises dans Masai Mara et avons même poussé notre véhicule devant une famille de guépards. Mais à chaque fois nous étions à terrain découvert. De toute façon nous n’avons pas le choix il faut descendre et dans la plupart des cas les lions ou léopards évitent l’homme. Reste le 1% des cas qui pose problème…

Nous allons ramasser des pierres dans le bras de la rivière et les plaçons sous la roue arrière.

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C’est l’Aventure nous dit Peter. Nous poussons, il accélère à fond et le minibus progresse de … allez 5cm. Nous ne sommes pas près d’arriver dans le triangle. A  2  pour pousser ce minibus nous semble peser des tonnes. Nous répétons l’opération un nombre incalculable de fois : mettre le cric, placer les pierres, pousser … et on recommence. Camille remarque que le problème c’est la roue avant gauche.

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On creuse sous la roue avant gauche pour la dégager. Mais rien n’y fait on est coincés et personne dans les parages. J’allais suggérer à Peter d’appeler quand il nous propose de pousser le minibus du côté gauche. Nous poussons tous les 3 et le minibus se décale légèrement sur la droite. Cric, pierres, on pousse et cela passe après 1h d’efforts.

Nous arrivons à la porte du Triangle. Des gnous noyés s’entassent sur la rive près du poste des rangers. C’est une véritable infection. Un ranger armé me propose de marcher le long de la rivière mais je décline. Cela pue vraiment trop. Camille dit à Peter que je fais des chichis car il y a quelques années dans le Kruger j’ai mangé un sandwich près d’un cadavre de girafe surveillé par un lion. Mais bon je trouve que là l’odeur est pire…ou je deviens plus délicat…

Nous rattrapons un groupe de la migration : nos « amis » les gnous
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C’est quand même quelque chose de se retrouver proche d’un grand troupeau. Le bruit des sabots, leurs meuglements, leur façon irrationnelle de courir sans explication. Quel spectacle.

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Le troupeau fini par s’arrêter sans plus de raison d’ailleurs que celle qui les avait poussé à courir.

Une antilope que nous n’avions jamais vue : Peter nous précise que c’est un guib Masai, mais j’avoue ne rien trouver dessus. Plutôt timide la gazelle.
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Quelle fleur étrange…

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