27-11-2005 15h00 : Uluru Kata Tjuta NP
Impatiente, impatiente….
Mais ce n’est pas encore pour tout de suite, Grrrr….
En effet nous allons allez assister au couché du soleil et donc il vaut mieux monter les tentes maintenant.
Dans les emplacements réservés aux groupes, nous montons donc nos chambres pour ce soir.
D’abord récupérer, les tentes, les matelas et les chaises pliantes, qui sont stockés dans un conténaire.
Plus ou moins chaque compagnie à le sien.
Ce soir je dors avec Elie, c’est moi qui monte la tente, avec son aide.
Elle avait l’habitude de faire du camping dans sa jeunesse, avec son mari, mais c’est toujours lui qui montait leur tente. Alors c’est une découverte pour elle.
Bon ça y est tout le monde est près.
Pour l’événement Jas, nous met un air de musique avec dijéridoo, totalement de circonstance.
Oh la, la, je ne vais quand même pas pleurer ?
Sniff, ben si… l’émotion est tellement forte à l’approche de ce que je rêve de voir depuis des années.
J'aurais bien une vidéo mais comme je ne sais pas comment la mettre en ligne, faites vous votre propre cinéma
On commence par en faire tout le tour en bus et Jas nous explique qu’il y a certains lieus que l’on ne peut photographier, par respect pour les croyances et les rites aborigènes qui se déroulent toujours à cet endroit.
Ces endroits sont signalés par des panneaux et on est aussi maintenue à l’écart par des cordes.
Uluru n’est absolument pas lisse, comme on pourrait le croire, il y a des nombreuses cavités et on peut facilement imaginer reconnaître des formes telles que la bouche à Jagger, ou le casque de Dark Vador.
Enfin on s’arrête et l’on entreprend une petite marche pour approcher le monolithe.
Je traine, je m’égare volontairement pour trouver le calme et pouvoir contempler tout mon saoul, m’immerger, me perdre dans l’ocre rouge.
Et le ciel est maintenant d’un bleu magnifique, la lumière à se damner…
84.
85.
86. Les traces noirs sont dues à l'écoulement des eaux de pluie
87.
88.
89.
90.
91.