Mondoro
Tes photographies rendent bien l’atmosphère de cette migration.
La masse purement hallucinante des gnous (y avait-il aussi des zèbres ?), la poussière, les sauts, la remontée épuisante sur ces berges boueuses, argileuses et puis ces cadavres qui flottent aux bénéfices des charognards.
J’avais vu une fois, que les hippopotames faisaient eux même aussi du nettoyage, en repoussant les cadavres sur les berges, tant la Mara en était infestée.
Et enfin, soit le repos vers les verts pâturages ou la triste fin, d’épuisement en proie aux prédateurs, qui attendent de se servir.
Merci pour ce reportage témoin
et pour aussi tes explications, sur l’excitation qui gagne tout autant les spectateurs de cette scène (nombre de véhicules sur les lieux).
Gazelle