Oui, mais la tenue ne craint rien, le matos tropicalisé non plus, et on emporte toujours du café chaud... C'est vrai que parfois en rentrant je ressemble à l'hippo qui sort de la marre, mais je ne marche pas tout de suite sur la moquette blanche
sous peine de divorce
Et toute cette gadoue contribue au charme invraisemblable qui me fait recommencer encore et encore. Avec mon pote, on a crapahuté 3 ans avant de faire UNE photo (merdique).
Il faut avoir essayé vraiment pour se rendre compte de ce qu'est la recherche du cerf en forêt domaniale (je ne parle ni des parcs, ni des réserves privées): une drogue dure
mais un moment privilégié de communion avec la nature sauvage.
Bon, assez de bucholisme, je retourne à mes lions